dimanche 26 juillet 2009

Appelez-le "Jin"


Un article de Rémi Aboussouan sur RDS concernant le résident de Ste-Catherine (sur la R-S de Montréal), natif de la Corée, arborant les couleurs des Piqueurs de Concordia (#18): Nicolas Arsenault-Hum.

On y apprend qu'il a choisi d'évoluer avec ConU après avoir côtoyé Warren Craney (coordonnateur de la défensive à ConU) au Championnat Mondial Junior (tiens, tiens, un autre...). Il portait les couleurs des Spartiates du Vieux-Montréal lorsqu'il avait été sélectionné pour représenter le Canada à la JWC.

Il a fait la première équipe d'étoile de la LFUQ à titre de maraudeur. En tant que mauraudeur, il a aussi souligné ses erreurs d'angle de poursuites qui ont mené aux touchés de Sébastien Lévesque à la Coupe Dunsmore. On espère que Peter Carrière lit ceci et prend des notes... On se souvient qu'à notre demi-finale, seul Jerry-Ralph Jules (éligibilité universitaire terminée) semblait avoir la vitesse et l'angle d'attaque pour limiter les dommages du redoutable porteur.

Les Sherbyquois le connaissent bien, celui-ci ayant effectué 2 interceptions à leur dépens, dont une menant à un touché de 58 verges, causant leur perte au compte de 41-20 à la demie-finale de conférence, l'an dernier. Suite à cet exploit, il a été nommé joueur de la semaine au Canada.

Ses coéquipiers le surnomment Jin en relation avec un rappeur asiatique bien connu. Pour ceux qui brulent d'envie de connaître l'original rappeur freestyle Jin:


Photos gracieuseté de Canadian Football

jeudi 23 juillet 2009

Stades de la LFUQ: Le PEPS


Pour nous mettre dans le mode «saison de football », nous allons analyser les stades des différentes équipes de la LFUQ, selon différents critères au fur et à mesure que la saison avance. Un genre de guide du routard de la LFUQ...

Pour cette 3e critique de stade, nous allons parler de nos ennemis jurés; La maison des Rouges et Or, le PEPS de l’Université Laval.

Caractéristiques: Après le stade Percival-Molson, le plus gros stade des équipes de la LFUQ, La surface de jeu du PEPS est en gazon synthétique. L'immense stade permet à un maximum de 18 000 personnes de regarder le match grâce à ses estrades de chaque côté du terrain . Il est le stade universitaire dans lequel on se sent le plus dans un vrai « stade de football ». Par conséquent, l'ambiance est au rendez-vous!

L'accès au stade se fait en voiture et en autobus. Le PEPS comporte un énorme stationnement ce qui facilite grandement l'accès en automobile.

Pour s’y rendre, l’autoroute Robert-Bourassa (Mi-Vallon pour les plus vieux) au nord de la Capitale, sortie Université Laval. Après ça, vous y êtes. Vous pourrez peut-être même vous stationner à côté du frère de Marc Santerre.

Le stade est situé dans un creux à flanc de colline, ce qui permet aux estrades de s'élever en hauteur. Toutefois, les estrades ne sont pas près du terrain, car une piste d'athlétisme et le banc des joueurs nous séparent de celui-ci (les mieux placés sont à environ 40 pieds de ligne de côtés).

Tailgate: Un seul mot: IMMENSE. Il est de loin, le plus gros tailgate universitaire. Dans l’ensemble du Canada, le seul tailgate toute catégorie pouvant le « challenger » est celui des Stampeders de Calgary. Certains fans sont assis sur leur chaise pliante, bière à la main aux alentours de 9:30 pour vous donner une idée. Le tout se déroule dans un stationnement adjacent, par conséquent ce n'est pas l'espace qui manque!

Oubliez d’apporter votre bière, à moins que vous ne soyez capable d’ingérer 6 bières en 90 secondes. Un service de sécurité actif met un point d’honneur à surveiller les arrivants avant qu’ils ne franchissent l’enceinte du stade.

L'animation est bien, mais sans plus; comme dans tous les stades, ce sont les mêmes chansons qui passent en répétition. L'animateur fait un bon boulot, très partisan, sans toutefois insulter les fans des équipes rivales. Une chose est à noter, dans ce stade, on a vraiment l’impression d’entrer dans une espèce de célébration messianique dont tous les spectateurs connaissent les chapitres…et la conclusion.

Les cheerleaders (on sait que plusieurs de nos lecteurs sont des passionnés de cet aspect du jeu) des Rouges & Or reflètent bien l’organisation générale du programme de la ville qui accueillie Champlain. En effet, leurs exhibitions sont de grandes classes et semblent avoir plus d’ampleur et être davantage aérienne que les autres cheers universitaires auxquelles nous avons été confrontés.

Somme toute, le stade est très impressionnant, la foule (bien que se soit les Némésis des Carabins) est courtoise envers les visiteurs (contrairement à nos attentes) et leurs hot-dogs sont bons! La foule est définitivement de tout âge, et c'est surement le seul stade de la LFUQ qu'on voit de jeunes familles assister aux matches. Seul point négatif: la piste d'athlétisme nous éloigne trop de l'action pour avoir une sensation d'immersion. Le PEPS a des projets d’agrandissements actuellement en cours qui vont ajouter 2 000 places assises.

Une particularité: Voir les gens se promener autour de la piste pendant la partie lors du déroulement du jeu et de voir littéralement une promenade collective à la demie (avec les poussettes, les frisbees, etc) est quelque peu troublant pour des non-initiés... et on se doit d'ajouter que contrairement au Centre civique de St-Stanislas de Kotska, le PEPS ne sera pas éclairé avant la fin des travaux d'améliorations.

La note des Deux Fans: 3.5/5

Photo panoramique de Dom , elle vaut la peine d'être cliquée.

mardi 21 juillet 2009

Sur le terrain, il n'avait d'Aimable que le nom...


Notre nouvel intronisé au TDLR-ALB est un des membres clés de la défensive étanche des Bleus du milieu des années 2000, soit Ader Aimable. Membre de l’équipe originale des Carabins en 2002, il a hanté les offensives adverses de 20022003 à 2006. Ses années d’admissibilité universitaire furent passés à défendre avec enthousiasme et dédication les couleurs des Carabins.

De physique plutôt modeste, le #45 de 5’9 et 215 livres n’était pas le plus charpenté pour un secondeur intérieur. Pourtant, sa force explosive et sa hargne ont fait de lui le meneur dans les plaqués pendant ses 4 dernières années chez les Carabins à l’époque où leur défensive était parmi les meilleures au pays. Il avait aussi la réputation de cogner solidement ses opposants. Il ne lésinait non plus à mettre son talent au sein des unités spéciales où sa rapidité le servait à plaquer solidement les retourneurs adverses et à bloquer quelques bottés importants.

Il est un digne représentant des joueurs d’origines haïtiennes qui portent si fièrement les couleurs de l’Université de Montréal.

Ader fut mis en nomination en 2004 pour représenter la LFUQ en vue de l’attribution du trophée Russ Jackson (qui combine les succès académiques, de football et de civisme)…. Et maintenant, honneur suprême d’entre tous, il est désormais intronisé au désormais célèbre Temple de la Renommée - Allez les Bleus! TDLR-ALB!

On vous ajoute une autre photo qu'on aime particulièrement, nous sommes des symbolistes dans l'âme...


Un remerciement spécial à Dom qui nous a déniché ces superbes clichés dans ses archives. Vous pouvez cliquez dessus pour les agrandir.

lundi 20 juillet 2009

Comme un trou normand...

Comme un trou normand...
On sait qu'on ne traite que de football universitaire, et principalement des Carabins, mais cet attrapé lors du match des Alouettes samedi du non-import, mais non-Canadien, Cahoon vaut un coup d'oeil si vous l'avez manqué.

Et comme un trou normand, on ne devrait pas... mais une fois n'est pas coutume...



Les instructeurs devraient se servir de cet attrapé pour enseigner que la technique et les tracés c'est bien beau, mais ultimement c'est le résultat qui prime...

dimanche 19 juillet 2009

On s'équipe pour la saison à venir...



Voilà notre nouvel acquisition pour ne plus rien manquer aux matchs de football: des Nikon Travelite V Binoculars.

Une paire de jumelles (pourquoi dit-on une paire?) enduite de caoutchouc (pour mieux se tenir quand nos mains seront gelées), facile à ajuster, légère et à l'épreuve de l'eau. Bien qu'il existe plusieurs modèles dans la série Travelite V, nous avons opté pour un modèle un peu plus dispendieux qui nous donne le choix entre un zoom de 8X @ 24X. Alors vous pouvez être assurés que rien ne nous échappera, particulièrement les jeux se déroulant dans le coin opposé...

mercredi 15 juillet 2009

Les étoiles canadiennes des U19 provenant du Québec

Les étoiles canadiennes des U19 provenant du Québec
Voici les joueurs qui ont été sélectionnés parmi les étoiles des U-19 (joueurs nés en 1990 ou après) canadiennes. Comme on l'a appris par la décision qui a retiré 2 victoires à l'équipe québecoise, les joueurs ne pouvaient avoir évolués au collégial plus d'une saison de football. Les joueurs ayant participés au Junior World Championship ne pouvaient particper au U-19 (évènements quasi- concurrents).

Donc voici les joueurs dont nous garderons un oeil dessus au cours des 2 prochaines années:

• Jean-Simon Ouellet, quart-arrière. Toujours bon des QB, on est un peu inquiet depuis les deux 17 ans du JWC
Félix Faubert-Lussier, receveur. On avait déjà un oeil dessus...Rappelons qu'il s'était blessé, puis coupé, au camp d'entrainement d'équipe Canada Junior. Il apparaît qu'il a récupéré à temps pour mériter le titre du "Joueur le plus utile à l’offensive" dans la très canadienne Saskatoon.
• Félix Prévost, receveur.
• Raphaël Ayotte, ligne offensive.
• Patrice Archambault, ligne défensive.
• Mathieu Masseau, secondeur.
• Michaël Langlois, demi-défensif.
• Danny Tam, demi-défensif.

Danny Tam, dont le cousin hockeyeur Mikaël évolue avec les Remparts de Québec, est un demi de la région de Québec qui va débuter son CEGEP à Vanier le mois prochain, en évoluant pour les Cheetahs. Il désire parfaire son anglais.

lundi 13 juillet 2009

Gascon-Nadon & Plessius dans la LFUQ?

Gascon-Nadon & Plessius dans la LFUQ?
Mise à jour -2 (22-07-09): Frederic Plessius a annoncé qu'il se "commettait" avec la ville qui a accueillie Sting cet été.... Misère. Gascon-Nadon de son côté est encore indécis.

Mise à jour: Ce Arnaud Gascon-Nadon, 6'4 235, est tout un joueur: Il était considéré l'an dernier comme le meilleur joueur défensif du collégial AAA. Lire l'article de Canoe concernant son recrutement l'an dernier.

Voici sa fiche la saison dernière à Rice. Ce n'est pas pour rien que le coordonnateur à la défensive de l'université américaine veut venir le rencontrer à Montréal. Notez également qu'un freshman canadien qui joue à sa première année dans une université de Div. 1 à la NCAA est un phénomène très rare! Il a terminé sa saison en beauté avec une nomination dans l'équipe d'étoile-recrue de la Conférence USA, ayant accompli 11 plaqués, un sac, et un échappé recouvré.

De plus en regardant ce vidéo de nos amis de Primoprod, et qu'on bave d'envie en l'espérant voir arborer le magnifique uniforme Bleu, on voit aussi que c'est un excellent botteur: http://www.primoprod.com/Primotube/index.php/video-section?task=videodirectlink&id=8
Une scène est particulièrement intéressante à où un gros bonhomme comme lui parvient à stopper un retourneur de botté en pleine accélération en open field @ 2:47.

On a aussi retrouver toujours sur le site de Primoprod un vidéo de Frederic Plesius:




Anonyme nous a communiqué la nouvelle suivante dans les commentaires - nous n'avons pas retrouvé l'article sur le site du J de Q (il n'est surement pas encore en ligne):

à lire dans le Journal de Quebec ce matin...

Deux grosses prises sur le radar de Glen Constantin

À un mois de l’ouverture du camp d’entraînement, le Rouge et Or de l’Université Laval mijote un coup fumant.

L’entraîneur de la ligne défensive des Owls de Rice se pointera à Montréal, le 21 juillet, pour tenter de convaincre Arnaud Gascon-Nadon de ne pas tourner le dos à la NCAA. L’ailier défensif n’a toutefois pas l’intention de changer d’idée.

Le secondeur Frédéric Plesius et l’ailier défensif Ar naud Gascon-Nadon sont sur le radar de l’entraîneur-chef Glen Constantin. Les deux amis n’ont pas apprécié leur expérience dans la NCAA et ils évolueront au Québec la saison prochaine. À Laval ou à Montréal chez les Carabins.

« J’ai beaucoup aimé la façon de coacher de Glen avec l’équipe canadienne junior en 2007 en Floride, a mentionné Plesius. Je suis en contact régulièrement avec mon ami Samaël Lavaud. J’ai aussi plusieurs amis chez les Carabins. Je veux jouer avec Arnaud et ma décision est liée à la sienne. »

Commis à l’endroit des Carabins 24 heures avant d’obtenir une offre de Rice, Gascon-Nadeau soutient que plusieurs choses ont changé en un an. « L’équipe des Carabins n’est pas la même et des choses ont changé dans ma tête, a-t-il exprimé. Pour atteindre mon rêve, il serait peut-être préférable que je m’éloigne des distractions de Montréal. À 21 ans, je vais prendre une décision pour moi. »

Bonheur perdu

Parmi les plus beaux espoirs de la cuvée de recrutement 2007, Plesius et Gascon-Nadon ont obtenu une bourse d’études chez les Bears de Baylor et les Owls de Rice respectivement en division 1-A.
Le rêve américain n’était pas au rendez-vous au Texas. « Ce que j’ai vécu à Rice n’est pas ce à quoi j’avais rêvé, a résumé Gascon-Nadon. J’ai joué beaucoup à ma première saison et j’ai participé à un Bowl, mais je n’aimais pas l’atmosphère.

« Mon rêve est toujours d’atteindre la NFL, mais je ne l’aurais pas réalisé en demeurant à Houston parce que je n’étais pas heureux, a poursuivi le produit des Spartiates du Vieux-Montréal. Je n’ai pas retrouvé le plaisir de jouer au football. »

Plesius tient des propos similaires. « Je n’avais pas un bon équilibre entre le football et le plaisir, a-t-il expliqué. J’étais loin de ma famille et je n’avais pas de vrais amis. Pour bien performer, je dois être heureux et je n’étais pas à l’aise dans ma situation à Baylor.

« Ma nouvelle vie dans la campagne de Waco était trop différente, poursuit le secondeur étoile. On parle d’une ville très républicaine où les mentalités sont très différentes du Québec. »

Plesius n’abandonne pas son rêve ultime. « Mon rêve n’était pas de jouer dans la NCAA, mais dans la NFL, a-t-il affirmé. J’ai toujours la chance de le réaliser puisque des joueurs universitaires canadiens atteignent la NFL. »

Contrairement à Gascon-Nadon qui a été élu au sein de l’équipe d’étoiles des recrues de la conférence USA, Plesius n’a participé à aucune partie. En cours de saison, il a été déplacé sur la ligne défensive.


Note: Prenez note qu'Arnaud Gascon-Nadon est le fils de la comédienne Nathalie Gascon et du comédien Guy Nadon et le beau-frère de Nicolas Bisaillon.

dimanche 12 juillet 2009

À tout Seigneur, tout honneur



Le Carabin qui nous a fait le plus « trippé » est sans conteste Yves Bériault, le #83 des Bleus. Cet athlète au gabarit moyen de 5’10, 170 livres de l’Outaouais, était un véritable marchand de vitesse.

Pendant les 4 saisons qu’il fut avec les Carabins il a constitué à lui seul pratiquement l’unique arme offensive « surprise » des porte-étendards du côté nord du Mont-Royal.

De par ses retours de bottés spectaculaires, ses longues réceptions de passes et quelques jeux renversés menés des bout en bout, il nous faisait lever de notre siège en anticipation des jeux qu’il s’apprêtait à accomplir. Lorsqu’il pouvait avoir quelques foulées pour prendre de la vitesse, il était pratiquement imparable. Nous gardions constamment un œil dessus, sachant qu’avec un seul jeu, il pouvait se rendre aisément de bout en bout.. Dès 2005, après avoir vu 2 ans de ses retours de bottés magistraux , les autres équipes évitaient comme la peste de botter vers lui, nous nous retrouvions avec le retour caractéristique « sauté de 2 mètres» de Niki Demers.

Sa carrière universitaire a été menacée par ses résultats académiques. D'ailleurs, il a été question qu’il ne puisse débuter la saison 2005 parce qu’il lui manquait les crédits nécessaires. On se souvient d’un fameux samedi éliminatoire contre l’équipe de la ville devenue le QG de Patrique Roy, où nous n’avons eu confirmation de sa présence que quelques heures avant le match, devant reprendre un examen pour avoir le droit de participer au match…

Au cours de ses quatre saisons actives, Bériault a été l’une des principales bougies d’allumage des Carabins. Reconnu particulièrement pour sa vitesse, il a, en 28 matchs, capté 57 passes pour des gains de 1109 verges et 10 touchés en plus de porter le ballon à 19 reprises (sur des jeux renversés principalement et autres trick plays) sur 418 verges pour 3 touchés. Il s’est évidemment illustré sur les retours de bottés de dégagement avec des gains de 1196 verges en 70 retours tout en marquant 6 touchés. Il détient notamment le record de la LFUQ pour le retour de botté le plus long, soit un retour de 122 verges en 2004 face aux Piqueurs.. 122 verges… on approche le demi-fond…

Notons qu’après son départ les Carabins n’ont jamais eu un « go to player ». Un joueur offensif capable de changer l’allure d’un match en un seul jeu, simplement en lui remettant le ballon.
Il fut nommé sur l’équipe d’étoiles de la conférence du Québec à 3 reprises, en 2003 comme receveur et en 2004 et 2005 comme spécialiste.

Deux points un peu négatifs sur sa carrière : Le peu de passes tentées vers lui. Ayant connu seulement l’ère des Lemieux et Jodoin (need we say more?) il n’a jamais eu suffisamment de passes tentées vers lui pour maximiser pleinement son potentiel. On aurait aimé voir plus de jeux dessinés pour lui, de jeux tentés vers lui. Particulièrement dans une offensive qui peinait horriblement à inscrire des points au tableau.

Il avait été le plus rapide de sa « classe de graduation » à la combine de 2007 de la CFL. Il avait notamment signé un 4.24 sur le 40 verges lancé à la Boule Est-Ouest précédant la saison 2006.

Il a mis un terme à sa carrière de footballeur après avoir été signé par les Alouettes comme agent libre au terme du repêchage de 07. Après seulement deux jours au camp d’entrainement des Als, il quittera St-Jean pour ne plus revêtir les épaulettes.

D'ailleurs, c’est le seul Carabin dont les Deux Fans possèdent l’autographe.

Devant tous ces faits d’armes, nous faisons donc de l’électrisant Yves Bériault, notre premier membre du Temple de la Renommée – Allez les Bleus! TDLR-ALB…

Un remerciement spécial à Dom qui a épluché ses archives photographiques, le Net est pauvre en photos de Bleus pré-2007.