Communiqué des Carabins:
Le programme de sport d’excellence des Carabins de l’Université de Montréal a été informé par le Centre canadien pour l’éthique dans le sport (CCES) qu’un de ses joueurs de football s’est vu imposer une sanction d’inadmissibilité de six mois pour une violation des règles antidopage.
Le 26 octobre dernier, la direction des Carabins avait annoncé que le CCES avait entamé des démarches avec un de ses joueurs de football suite à un résultat de test anormal et était depuis en attente du verdict. Le joueur avait été retiré de l’équipe dès le début du processus.
Un test d’urine effectué par le CCES le 10 septembre 2011, avant le match à l’Université Laval, a révélé des traces de méthylhexanamine, un stimulant interdit, dans l’organisme du porteur de ballon Carlos Martinez. Cette substance est classée substance spécifiée par l’agence mondiale antidopage et est interdite en compétition.
En vertu des règlements du Programme canadien antidopage, un athlète qui commet une première violation pour usage d’une substance spécifiée peut demander et obtenir une suspension moindre que celle standard de deux ans.
Carlos Martinez a renoncé à son droit d’audition et a reconnu avoir commis une violation des règles antidopage. Sa suspension de six mois se terminera le 19 avril 2012.
« Je suis désolé que l’organisation et l’équipe de football des Carabins se retrouve dans cette situation, dit Carlos Martinez qui a fait partie de l’alignement pour six matchs en trois saisons. Malgré que je n’avais aucunement l’intention de contrevenir aux règles, je comprends et j’accepte cette sanction. »
« Nous avons une politique de tolérance zéro en matière de dopage et nous appuyons les mesures renforcées mises en place par le CCES, Sport interuniversitaire canadien et la Ligue canadienne de football, mentionne la directrice des programmes sportifs de l’UdeM, Manon Simard.
« Nous avons pris les devants au cours des dernières années pour intervenir auprès de nos joueurs de football et nous poursuivons notre travail en ce sens. »
Donc, sans être un pétard mouillé, ce n'était vraiment pas grand chose. Le méthylhexanamine (vive le copier-coller) est à la base un décongestionnant qui est parfois retrouvé dans certains suppléments alimentaires.
Ceux qui croient que ce n'était qu'un substitut et que ça a peu affecté l'équipe, on vous rappelle que Carlos était le tailback numéro 3, et avec la suspension de O. Renière pour dopage , il aurait été TRÈS utile à l'équipe....
Le programme de sport d’excellence des Carabins de l’Université de Montréal a été informé par le Centre canadien pour l’éthique dans le sport (CCES) qu’un de ses joueurs de football s’est vu imposer une sanction d’inadmissibilité de six mois pour une violation des règles antidopage.
Le 26 octobre dernier, la direction des Carabins avait annoncé que le CCES avait entamé des démarches avec un de ses joueurs de football suite à un résultat de test anormal et était depuis en attente du verdict. Le joueur avait été retiré de l’équipe dès le début du processus.
Un test d’urine effectué par le CCES le 10 septembre 2011, avant le match à l’Université Laval, a révélé des traces de méthylhexanamine, un stimulant interdit, dans l’organisme du porteur de ballon Carlos Martinez. Cette substance est classée substance spécifiée par l’agence mondiale antidopage et est interdite en compétition.
En vertu des règlements du Programme canadien antidopage, un athlète qui commet une première violation pour usage d’une substance spécifiée peut demander et obtenir une suspension moindre que celle standard de deux ans.
Carlos Martinez a renoncé à son droit d’audition et a reconnu avoir commis une violation des règles antidopage. Sa suspension de six mois se terminera le 19 avril 2012.
« Je suis désolé que l’organisation et l’équipe de football des Carabins se retrouve dans cette situation, dit Carlos Martinez qui a fait partie de l’alignement pour six matchs en trois saisons. Malgré que je n’avais aucunement l’intention de contrevenir aux règles, je comprends et j’accepte cette sanction. »
« Nous avons une politique de tolérance zéro en matière de dopage et nous appuyons les mesures renforcées mises en place par le CCES, Sport interuniversitaire canadien et la Ligue canadienne de football, mentionne la directrice des programmes sportifs de l’UdeM, Manon Simard.
« Nous avons pris les devants au cours des dernières années pour intervenir auprès de nos joueurs de football et nous poursuivons notre travail en ce sens. »
Donc, sans être un pétard mouillé, ce n'était vraiment pas grand chose. Le méthylhexanamine (vive le copier-coller) est à la base un décongestionnant qui est parfois retrouvé dans certains suppléments alimentaires.
Ceux qui croient que ce n'était qu'un substitut et que ça a peu affecté l'équipe, on vous rappelle que Carlos était le tailback numéro 3, et avec la suspension de O. Renière pour dopage , il aurait été TRÈS utile à l'équipe....