jeudi 29 juillet 2010

Stades de la LFUQ: Le Coulter Field



On poursuit notre série sur les stades de la LFUQ par celui qui va nous occasionner notre seule visite à l'extérieur de Montréal (à l’exception de St-Fx) cette année. Donc, en route pour indiscutablement le stade le plus typique de la LFUQ: Le Coulter Field dans l’arrondissement Lennoxville à Sherbrooke, aussi appelé Gaiterstown.


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Tout d'abord, le stade est situé en « banlieue » anglophone de Sherbrooke, et non pas dans la ville-centre, lui donnant déjà une particularité unique. De plus, il est enclavé dans le campus Bishop's qui n'est pas sans rappeler les campus américains un peu isolés où la vie estudiantine s'y voit concentrée. (En opposition avec les autres universités québécoises où les différents campus peuvent être distancés de plusieurs kilomètres.) Une autre caractéristique de cette université est le fait qu'elle accueille au maximum 2 200 étudiants, soit l'équivalent d'un CEGEP. Cette exiguïté fait en sorte que l’ensemble de la communauté étudiante est très près des athlètes composant ses équipes sportives, notamment son équipe de football.

Comme toutes les équipes anglophones, les prix des billets sont parmi les plus bas de la LFUQ:

Adulte saison régulière : 12$
Autres étudiants : ?
Étudiants de Bishop's : 3$
12 ans et moins : 2$

L'arrivée au stade se fait après avoir traversé Sherbrooke d'une des 14 façons possibles (chacun possède sa recette) pour accéder au Coulter Field. Le stationnement (disponible à un coût marginal 2$) peut être propice à une certaine forme de réunion, bien qu'on ne peut parler de tailgating organisé en bonne et due forme... À moins que l'équipe adverse ne s'en charge...

La première chose qui frappe en arrivant à proximité du stade est une attaque visuelle de mauve, le mauve n'est pas celui des Vikings du Minnesota, il est plus pâle, davantage pourpre. Une mascotte, un genre de Barney avec des dents, à l'identité mal définie (Gaiters signifie guêtres et non Gators – alligators) se promène sur le terrain et nous rappelle cruellement que nous avons oublié d'apporter une poêle à frire.

On est impressionné du nombre de bénévoles aux cheveux gris œuvrant pour les Gaiters. Il est certain qu'une fidèle communauté d'ancien constitue l'influx sanguin du programme football. L'entrée au stade ne coûte que 12$ (5$ étudiants).

Les estrades ne sont que d'un seul côté du terrain, laissant notre regard parfois vagabonder sur les verts et bucoliques pâturages Estrien pendant les temps morts. Le banc des joueurs des Gaiters est situé du côté des estrades et celui des visiteurs, du côté opposé. Nous sommes assis sur des bancs continus en bois. Le stade partage son surement son âge avec celui de ses bénévoles, et à notre passage le vétuste tableau indicateur ne fonctionnait que de façon intermittente rendant la compréhension du match ardue. Toutefois, la surface de jeu consiste en un récent (2008) gazon synthétique. L'Université Bishop's va bénéficier sous peu d'améliorations importantes à ses installations sportives, qui n'affecteront toutefois pas le stade proprement dit.

Un aspect culinaire qui rend cette expérience unique est leur chili maison offert dans le petit kiosque avant d'accéder au stade que vous devez absolument essayer pour vivre pleinement l'immersion Bishopienne... et soyez sans crainte, il n'est pas violacé…

Contrairement aux équipes francophones de la LFUQ, qui elles sont commanditées par Budweiser, ne vous aventurez pas à sortir la canette rouge à l'emblématique couronne de votre poche pendant le jeu. En effet, une tenace police étudiante (dans notre cas, jolie) veille au grain et vous empêchera de vous désaltérer convenablement...

L'atmosphère est très bon enfant, les fidèles, mais peu nombreux, partisans des Gaiters sont composés d'anciens, de parents, et d'étudiants du campus. Ils n'ont aucun problème à transiger avec des partisans adverses manifestant contre leur équipe. On nous mentionne que le match inaugural pendant la Froch week, où la ville se couvre de mauve, ainsi que le homecoming game permettent de découvrir l'enthousiaste des partisans de l'ancienne université Anglicane.

Bien qu'il remonte aux années 30, le programme de foot moderne des Gaiters remonte à 1961 avec l'embauche du directeur athlétique Bruce Coulter. Parmi les gradués footballistiques connus de cette institution, notons, le CO des Carabins Pat Gregory, Tom Europe, le président des Alouettes de Montréal Larry Smith. L'actuel instructeur du Rouge & Or, Glen Constantin qui y a fait ses premiers pas comme entraineur. Cette université est le bastion du commissaire de la LFUQ, Tom Allen

Pour conclure, le domicile des Gaiters tranche dramatiquement avec les autres stades de la LFUQ, mais c'est ce qui en fait son charme particulier, par exemple, voilà leur chanson non-officielle qui démontre le côté irrévérencieux de l’institution :

Raise a toast to Bishop's University
On the mighty Massiwippi shore!
We're conditioned to our fate,
We will never graduate,
We will stay here forever more!

College days will linger ever in our hearts,
Wearing gowns, raising hell and quaffing ale!
And we'll show esprit de corps
As we watch the Gaiters roar
On to victory!

So raise your beer mugs,
And your little brown jugs
To Bishop's University!

Note des Deux Fans 3.5/5 (le tableau indicateur déficient et le fait qu’il n’y ait pas d’estrades d’un côté pénalise)

Photo du stade tirée du site CISforum.org, photo de la mascotte par Domskibum, Merci aux commentateurs qui ont permis d'enrichir ce billet.

mardi 20 juillet 2010

Rénovation: Le tapis mur à mur est installé!

Nous vous avions entretenu l'automne dernier, que le CEPSUM était pour être l'objet d'un ravigotage digne de 7-Up, et bien c'est maintenant complété, à temps pour le camp d'entrainement.

Vous remarquerez qu'aux extrémités on y a ajouté les mots Carabins, et à l'autre, Montréal meublant ainsi le bleu anciennement dénudé de la zone des buts. Ce même bleu est plus "royal" qu'auparavant ajoutant un charme digne de Bye Bye Maison à l'ensemble. Les numéros et lignes sur le terrain sont permanents, donc ils n'auront plus besoin d'être repeints et seront toujours sharp.

Il sera intéressant de voir si le nouveau tapis va changer l'adhérence des souliers des joueurs lors de mouvement brusques. Plus tôt cette année, on a vu un match de la CFL avec la nouvelle surface au Commonwealth stadium à Edmonoton, et l'équipe adverse éprouvait des difficultés à suivre... 

De plus, les lumières à l'intérieur du système d'éclairage ont été remplacées, elles sont éco-énergétiques et plus brillantes. Avec trois matches en soirée en 2010, Dom va les apprécier pour prendre ses photos... (et avec sa nouvelle caméra, plus d'excuse!)

Vous pouvez cliquer sur l'image pour l'apprécier en plus grand format.
Photo gracieuseté des Carabins de l'UdM

mercredi 16 septembre 2009

Du nouveau tapis "shag" au CEPSUM


Les Carabins et les différents palliers de gouvernement ont annoncé des investissements de 8.6 M au CEPSUM. Les travaux devraient être complétés pour décembre 2010.

Ce que ça signifie pratiquement pour le programme de football:
  • Un nouveau tapis synthétique pour remplacer le vieillissant...
  • Le fait d'avoir un nouveau terrain d'entrainement (le terrain Bellingham) permettra d'alléger l'utilisation du terrain du CEPSUM qui était exploité à 110% (n'oubliez pas que les Carabins ont également des équipes de soccer féminines et masculines) et pour avoir assister à quelques pratiques, disons que la cohabitation semblait parfois litigieuse...
  • Une nouvelle salle d'entrainement spécialisée destinée aux athlètes d'excellence. Les équipes d'élite des Carabins en possédaient une, mais trop petite et un peu dépassée. Ce qui entrainait que les Bleus devaient souvent aller dans le gym régulier du CEPSUM... avec les "Pousse pousse de la fonte"... C'est une des choses qui avait le plus surpris (négativement) Jonathan Pierre-Étienne lorsqu'il était revenu de Rutgers.

C'est Austin Power qui serait fier des Bleus....

P.S.: S'il vous plaît, ne nous parlez pas du tableau indicateur dans les commentaires... nous sommes émotifs sur le sujet...

Photo exclusive, gracieuseté de Charles William Pelletier

jeudi 23 juillet 2009

Stades de la LFUQ: Le PEPS


Pour nous mettre dans le mode «saison de football », nous allons analyser les stades des différentes équipes de la LFUQ, selon différents critères au fur et à mesure que la saison avance. Un genre de guide du routard de la LFUQ...

Pour cette 3e critique de stade, nous allons parler de nos ennemis jurés; La maison des Rouges et Or, le PEPS de l’Université Laval.

Caractéristiques: Après le stade Percival-Molson, le plus gros stade des équipes de la LFUQ, La surface de jeu du PEPS est en gazon synthétique. L'immense stade permet à un maximum de 18 000 personnes de regarder le match grâce à ses estrades de chaque côté du terrain . Il est le stade universitaire dans lequel on se sent le plus dans un vrai « stade de football ». Par conséquent, l'ambiance est au rendez-vous!

L'accès au stade se fait en voiture et en autobus. Le PEPS comporte un énorme stationnement ce qui facilite grandement l'accès en automobile.

Pour s’y rendre, l’autoroute Robert-Bourassa (Mi-Vallon pour les plus vieux) au nord de la Capitale, sortie Université Laval. Après ça, vous y êtes. Vous pourrez peut-être même vous stationner à côté du frère de Marc Santerre.

Le stade est situé dans un creux à flanc de colline, ce qui permet aux estrades de s'élever en hauteur. Toutefois, les estrades ne sont pas près du terrain, car une piste d'athlétisme et le banc des joueurs nous séparent de celui-ci (les mieux placés sont à environ 40 pieds de ligne de côtés).

Tailgate: Un seul mot: IMMENSE. Il est de loin, le plus gros tailgate universitaire. Dans l’ensemble du Canada, le seul tailgate toute catégorie pouvant le « challenger » est celui des Stampeders de Calgary. Certains fans sont assis sur leur chaise pliante, bière à la main aux alentours de 9:30 pour vous donner une idée. Le tout se déroule dans un stationnement adjacent, par conséquent ce n'est pas l'espace qui manque!

Oubliez d’apporter votre bière, à moins que vous ne soyez capable d’ingérer 6 bières en 90 secondes. Un service de sécurité actif met un point d’honneur à surveiller les arrivants avant qu’ils ne franchissent l’enceinte du stade.

L'animation est bien, mais sans plus; comme dans tous les stades, ce sont les mêmes chansons qui passent en répétition. L'animateur fait un bon boulot, très partisan, sans toutefois insulter les fans des équipes rivales. Une chose est à noter, dans ce stade, on a vraiment l’impression d’entrer dans une espèce de célébration messianique dont tous les spectateurs connaissent les chapitres…et la conclusion.

Les cheerleaders (on sait que plusieurs de nos lecteurs sont des passionnés de cet aspect du jeu) des Rouges & Or reflètent bien l’organisation générale du programme de la ville qui accueillie Champlain. En effet, leurs exhibitions sont de grandes classes et semblent avoir plus d’ampleur et être davantage aérienne que les autres cheers universitaires auxquelles nous avons été confrontés.

Somme toute, le stade est très impressionnant, la foule (bien que se soit les Némésis des Carabins) est courtoise envers les visiteurs (contrairement à nos attentes) et leurs hot-dogs sont bons! La foule est définitivement de tout âge, et c'est surement le seul stade de la LFUQ qu'on voit de jeunes familles assister aux matches. Seul point négatif: la piste d'athlétisme nous éloigne trop de l'action pour avoir une sensation d'immersion. Le PEPS a des projets d’agrandissements actuellement en cours qui vont ajouter 2 000 places assises.

Une particularité: Voir les gens se promener autour de la piste pendant la partie lors du déroulement du jeu et de voir littéralement une promenade collective à la demie (avec les poussettes, les frisbees, etc) est quelque peu troublant pour des non-initiés... et on se doit d'ajouter que contrairement au Centre civique de St-Stanislas de Kotska, le PEPS ne sera pas éclairé avant la fin des travaux d'améliorations.

La note des Deux Fans: 3.5/5

Photo panoramique de Dom , elle vaut la peine d'être cliquée.

jeudi 18 juin 2009

Stades de la LFUQ: Concordia Stadium


Pour nous mettre dans le mode «saison de football », nous allons analyser les stades des différentes équipes de la LFUQ, selon différents critères au fur et à mesure que la saison avance.

Comme la deuxième partie de la saison est à Concordia, rendons-nous donc dans l'ouest de Montréal pour pratiquer notre « how are you » et explorer leurs installations. Les Concordia Department of Recreation and Athletics' facilities peuvent être localisés aux campus de Loyola et de Sir George Williams. Celui qui nous intéresse est tout près du campus Loyola, situé au 7200 Sherbrooke Ouest, Montréal.

Caractéristiques : Un terrain synthétique récent. Des estrades préfabriquées d'un seul côté du terrain montées à un niveau quasi apeurant accueillent les spectateurs. On peut y assoir environ 4 000 personnes. Assurez-vous de ne rien échapper par terre, car l’enchevêtrement de support sous les estrades est littéralement labyrinthien. Les équipes représentants l'Université ont aussi accès à un second terrain éclairé avec surface artificielle situé derrière le stade qui sera recouvert du « Stingerdome » (on imagine toujours la tête hirsute à Tina "We don't need another hero" Turner en entendant ce mot) pendant la saison hivernale à partir de cet automne.

L'accès au stade se fait uniquement en automobile ou en autobus et il se situe dans un quartier majoritairement résidentiel. En fait à partir de l'Autoroute Décarie, le stade est à peu près d'égale distance au CEPSUM, mais du côté opposé. Du stationnement est disponible derrière le Concordia athletic facilities et est accessible par les rues Coffee et West Broadway pour 5$ par jour. On peut toujours trouver du stationnement gratuit en arrivant tôt. Vous pouvez cliquer sur le bouton "map" pour mieux visualiser les routes et localiser le stationnement.


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Le prix des billets est définitivement parmi les moins dispendieux de la LFUQ. Les prix sont majorés pendant les éliminatoires (espérons qu’ils viennent nous visiter au CEPSUM, ça réglerait le trouble)

Adulte saison régulière : 10$
Autres étudiants : 7$
Étudiants de Concordia : 4$
Âge d’or: 4$
Gratuit pour les enfants de 12 ans et moins.

Les joueurs ne semblent pas avoir de vestiaire à proximité pour se changer. Ils doivent surement le faire de l’arrière. Le terrain est entièrement ouvert, à l'exception du côté où se trouvent les gradins, donnant une atmosphère un peu « terrain d'école secondaire », aux matches s'y déroulant. Nous ne sommes pas des fanatiques d’un terrain n’étant pas ceinturé par des estrades. Bien qu’étant près du jeu, il semble impossible d’y créer une atmosphère survoltée. Sans compter que nous trouvons toujours particulier de voir les autos défiler derrière le terrain lorsque nous levons les yeux.

La foule est de tout âges, bien que plusieurs partisans (es) soient sérieusement grisonnants et semblent de fidèles supporters qui connaissent et apprécient leur équipe depuis plusieurs années, de façon pas trop chauvine....

Tailgate: Inexistant (où on ne l'a pas vu s'il s'en tenait un)

Bouffe et bière: Une roulotte de chantier sert des hot dogs et des petits chips maisons pas méchants. Nous ne sommes pas certains (si quelqu’un pouvait confirmer), mais on peut apporter sa bière.

L'animation: Perdu dans ce vaste espace, on ne peut parler d'animation.... et on entend à peine le commentateur. À notre souvenir, il n’y a pas de musique d’ambiance entre les jeux.

La note des Fans: 2.5/5 (Un .5 dû au prix des billets)

Photo gracieuseté de Canadian Football

mardi 26 mai 2009

Stades de la LFUQ: Le CEPSUM


Nous voulions mettre cette série un peu plus tard cette année, mais nous désirons mettre la table pour notre deuxième billet (à venir sous peu) sur le marketing des Carabins.

Pour se mettre dans le mode «saison de football », nous allons analyser les stades des différentes équipes de la LFUQ, selon différents critères au fur et à mesure que la saison avance.

Un genre de guide du routard de la LFUQ... Alors quoi de mieux que le stade des Carabins pour ouvrir la série: le CEPSUM:

Caractéristiques: Un terrain synthétique avec une surface relativement moderne, 2 séries de gradins de chaque côté du terrain, une série de gradins semi-couverte (section impaires - très appréciée lors de pluie abondante) avec une minuscule galerie de presse à son sommet. Les bancs des joueurs sont de ce côté. Les autres gradins (pairs) sont adossés à la montagne et ce sont majoritairement des visiteurs et des last minute qui les occupent. Les cheerleaders et les photographes sont de ce côté du terrain (y'as t'il un lien?). Le tableau indicateur est similaire a celui ornant les gymnases de polyvalente des années 70. Le stade a une capacité d'environ 5 100 places.

L'accès au stade se fait aisément, instructions complètes ici et la station de Métro Edouard-Montpetit se trouve directement à même le stade! Quant aux amateurs préférant l'automobile, on peut se stationner à proximité (disons avec une marche d'un maximum de 10 minutes) à condition de surveiller attentivement les pancartes de stationnement.

Bien qu'un peu élevé, on est très près de l'action, seulement une bande d'une vingtaine de pieds, où les joueurs se tiennent, nous sépare du terrain.

L'entraineur des Carabins, Marc Santerre affimait que la proximité des spectateurs, bien que 3 fois moins nombreuses qu'au PEPS à Qc city, créait un effet où les joueurs et entraineurs sentaient davantage la présence de la foule.

Tailgate: Sur une plate-forme menant à l'entrée du stade, relativement restreinte, on y retrouve un DJ (on souhaite le retour du band live cette année!), souvent quelques rafraichissements et hot dog ou blé d'inde offerte par une association étudiante quelconque... cependant l'offre varie de match en match. Les cheerleaders (en jupe nouveauté de l'an dernier :) , lorsque la température le permets ) viennent nous divertir.

Bouffe et bière: Budweiser @ 3.75$, la bouffe est tenue par une concession de « Cage aux Sports»: hot dogs et assiette de nachos sont les gros vendeurs, les Deux Fans n'haissent pas le hot dog avec saucisse italienne pour hausser leur taux de gras au niveau digne d'un match de foot.

L'animation: La musique est correcte, bien que le set change relativement peu et qu'ìl soit répétitif durant la saison,... mais il faut dire que c'est ainsi dans tous les sports (Who let the dogs out et We will rock you – pu capable!). Les Carabins ont aussi non seulement une faiblesse du côté des receveurs, mais aussi du commentateur. L'an dernier, ils ont invités à deux reprises Rodger Brulotte qui n'était manifestement pas dans son élément, mais qui a tout de même fait une job honnête surtout en comparaison des amateurs pathétiques qui ont fait les 2 autres matches! - Pourtant dire au micro: « Premier Jeu - Carabinsssss » devrait être simple.

Prix: 10$ étudiants, 16$ les autres.

Point important: ils tolèrent qu'on "passe la sécurité" avec notre boisson, en autant qu'elle soit en canette.

Il n'y a pas de stupide mascotte qui nous font regretter de ne pas avoir apporter des casseroles en fonte. La foule est majoritairement constituée d'étudiants et de quaternaire et de quinquagénaire amateurs de football, elle est bruyante, mais sans excès...

La note des Deux Fans: 4/5