vendredi 17 mai 2019

La saison des mariages


Chaque année, lors du camp de printemps, plusieurs joueurs de l’édition précédente font camp buissonnière. Et chaque année, quand l’on demande pourquoi ces joueurs ne sont pas présents, on a toujours la même réponse : Y’avaient un mariage!


Comme vous l’avez lu dans mes comptes rendus de ma visite au camp d’entraînement de la semaine dernière, plusieurs joueurs n’étaient pas en uniforme ou n’étaient tout simplement pas au camp. Voici donc la liste des joueurs de l’édition 2018 qui auraient troqué les épaulettes pour le nœud papillon.

Prenez note qu’en aucun temps je prétends et affirme que ces joueurs sont des MIA et qu’ils ne font plus partie de l’équipe. La très grande majorité avaient de très bonne raisons de pas être présent et, à qques exceptions près, je m’attends à tous les voir en uniforme en août.

Quarts-arrière :
Éric Parr

Porteurs de ballon :
Samuel Makwanda
Ryth-Jean Giraud

Ligne offensive :
Mathieu Boucher
Jean-Maxime Derosier

Receveurs :
Félix Ménard
Kevin Kaya
. Il s’entraînait sur les lignes de côté avec PM Toussaint
Dominic Perron
Tristan Fiske-Casault
. Pratiquement remis de son opération au genou, il s’entraînait sur les lignes de côté avec PM Toussaint.
Antoine Maihot. Il s’entraînait sur les lignes de côté avec PM Toussaint
Jason Hovington
Jocelyn Legault

Robbi Dejean. Il s’entraînait sur les lignes de côté avec PM Toussaint
LM Normandin. Sa session d’été se termine en juillet.
Patrice Charles
Liam Ward.

Ligue défensive :
Xavier Marois
Momar Mbaye
Nicholas de Bellefeuille-Blais

Secondeurs :
Joachim Christian
Jahson Lafontant-Denis

Demis défensifs :
Marc-Antoine Dequoy. Il s’entraînait sur les lignes de côté avec PM Toussaint
Ronaldo Bernard
Bruno Lagacé. Il s’entraînait sur les lignes de côté avec PM Toussaint
Julien Jeffly
Paolo Sergeni.


lundi 13 août 2018

Visite au camp et autres informations secrètes


C’est sous un soleil de plomb que l’on a fait notre 1re visite au camp d’automne des Carabins. La température en Fahrenheit n’avait d’égal que le nombre de joueurs sur le terrain.
L’une des 1ere choses qui nous a frappés c’est le nombre important de nouveaux visages au sein de l’équipe. Et ici, on ne fait pas référence aux déjà très médiatisés changements au niveau du personnel d’entraîneurs. En effet, les recrues et 2e années représentent près de 70% de l’ensemble des joueurs de l’alignement du camp.
Toujours en tenant compte que ce n’était que la 2e journée du camp, voici les quelques petites notes que l’on a glandées ici et là.

Attaque :


Je ne surprendrai personne en disant que c’est #16 Dimitri le Nouveau Messie qui est officiellement le QA #1 de l’équipe. Les 3 autres pivots présents sont #14 G. Archambault, le revenant #5 E. Parr et la recrue #1 B. Pelletier. Aucun des 3 « vétérans » ne s’est vraiment démarqué. Dimitri semble le plus en confiance et Parr a de loin le bras le plus puissant. Il ne faudrait pas s’étonner de le voir ravir le poste de numéro deux au Doc Archambault.

Du côté des porteurs de ballon, #33 R. Malki poursuit sur sa lancée de la fin de la saison 2017 et semblait être le porteur #1 de l’équipe. Mais il faut dire que le vétéran #2 G. Parent, bien qu’en uniforme, n’a pas pris part aux exercices de groupe. Il nous a d’ailleurs paru plus en shape que jamais. Plus musculaire, moins… moins. Il devrait reprendre son poste derrière Dimitri dès la partie d’ouverture. La recrue #4 S. Makwanda fait déjà sa place comme l’un des très bons PB de l’équipe. Il est grand, fort et court avec assurance. Il sera assurément l’un des porteur partant tout au long de la saison. On l’aime déjà d’amour profond (attendez-vous une une rencontre sous peu vécu le micro inquisiteur).  Avec la retraite de J. Choquette-Daigneault, #22 Mr. Roboto devrait voir son lot de ballon en 2018.

Le FB recrue du Vieux-Montréal #38 T. Quirion pourrait venir brouiller les cartes à sa position. À 5’11, 235lbs, il a clairement le physique de l’emploi. On vous rappelle que nous avons besoin d’un centre-arrière de haut niveau pour contrer l’excellent M. Betts.

Avec les retours de #3 R. Cibasu et #83 R. Major-Dagenais le groupe de receveur 2018 des Carabins est assurément le meilleur de son histoire. Les receveurs partants devraient être Cibasu, Kaya, Paquet, Major-Dagenais et Normandin. Les remplaçants de luxe seront Laflamme, Fiske-Casault et Maihot ( qui était des 5 receveurs partants lors des dernières parties de 2017).

La recrue #49 D. Perron, malgré sa trop petite taille a effectué des immenses attrapés contre des DD d’un demi-pied plus grand que lui. #82 J. Hovington nous a agréablement surpris. Il semble avoir le même « pif » que son frère pour le ballon, mais du bon côté de la clôture cette fois-ci. À 6’02, 210lbs à son 1er camp, imaginez les ravages que pourra faire #6 JS. Chamberland après avoir profité des conseils de Coach Byron dans le gym et des soirées au Sushi à volonté!

On aimerait bien vous parler de la ligne offensive, mais on l’a presque pas vu en action lors de notre visite. Seul constat, elle sera jeune et avec peu d’effectifs. Sur les 14 OL listés, il n’y a aucun 4e année et que 3 5e année. #62 A. Dumouchel, #64 G. Sylvestre, #54 MA. Lemay, #66 PO Lestage, #68 F. Tsagatakis devrait être l’alignement partant.

Défense :

À défaut d’avoir des gros DT/NT, les Carabins vont encore opter pour la vitesse plutôt que pour la grosseur. Le mouvement sur la ligne sera encore monnaie courante. Prévost, Mignaut, Marion, Lemieux-Cardinal, Pelletier, Rossi, Brodrique, Cayo (coco), Paquet-Brisson dans l’ordre ou dans le désordre, ils se sont tous alignés de façon menaçante devant le QA en poste. En parlant de #40 S. Rossi, si lors de notre dernière visite sa condition physique semblait incertaine, il nous finalement paru très en jambes.

Pas sûr que nous avons déjà vu un groupe de secondeurs aussi jeune. Les Carabins 2018 n’ont aucun secondeur de 4ème ou de 5 années. C’est la machine à plaquer, #45 JP. Lévesque, qui aura la lourde tâche de remplacer Cromito aux côtés du capitaine #7 Brian H.

Dans la tertiaire, les recrues #30 R. Bernard et #32 D. Desbrosse semblent être les candidats préférés de tous pour prendre le poste de Zak. La recrue #31 B. Lagacé joue déjà comme un vétéran. Il sera assurément l’un des DB partants avec #9 JS Bélisle, #15 F. Hamel, #24 MA Dequoy et le jet-setter #23 J. Perrin.

Notre #Stibotteur #18 LP Simoneau est méconnaissable. Il est maintenant svelte comme un jeunot! Clairement il s’est senti piquer au vif que l’on a écrit, lors de notre dernière visite, qu’il avait un shape de calleur de bière. Les 3 botteurs présents ont bien fait. Rien pour écrire à votre mère, mais tout de même, on va aller s’acheter des timbres (question d’être prêts).

Pour ceux qui se demandaient si #83 R. Major-Dagenais avait bien récupéré de sa blessure à la jambe subie la saison dernière contre les Méchants de Laval, il s’exerçait comme retourneur principal tout au long de l’entraînement.

Jason Hogan s’est très bien intégré au sein du personnel d’entraîneurs des Carabins. C’était clairement le coach le plus vocal sur le terrain. Il prend de la place et il fait sentir sa présence. Très bonne acquisition pour les Carabins.

Informations secrètes :
Finalement, voici l’info que vous attendiez tous et que l’organisation cherchait à cacher : les MIA!

Joueurs qui étaient présents au camp du printemps :
Félix Bergeron, SEC
PO Laurendeau, LD
Kevin Duprey, REC
Mario Cleri, LO
Frédérick Labbé-Desmeules, LO

Joueurs blessés pour la saison:
Alan Penverne, B
Liam Ward, REC

Recrues 2018 :
Nicholas de Bellefeuille-Blais, LD
Joachim Christian Joyce, SEC
Thibault Van-Elsue, DD
Darcy Jeannis, DD
Patrice Charles, SEC

Prendre note que plusieurs coupures sont à prévoir d'ici la partie de samedi contre Carleton et surtout après. La liste pourrait donc s'allonger. Des noms circule déjà, mais nous allons attendre des confirmations avant de les publier.

Mine de rien, c’est plus de 10 OL 2017 et recrues qui sont MIA avant le début de saison…

mardi 22 décembre 2015

Proposition d'un calendrier interligue (prise X)

Scénario de blowout malheureusement rencontré trop souvent - Photo Y. Doublet
Au travers du pays, on constate le peu d'intérêt national pour un sport fantastique qui aurait grand besoin d'une meilleure exposition, d'un marketing adapté, et également de moins de blowouts...

Un commentateur récent, Seniorgolfer offre sa solution de calendrier interlock ainsi que de séries éliminatoires du même acabit qu'on vous suggère de lire.

Malheureusement son document n'est disponible qu'en anglais, mais nous présumons qu'il spécifiera sa pensée dans les commentaires. Prenez note que son document est en deux parties, et nous vous suggérons de débuter par la seconde pour en comprendre le sens et le cheminement.

Voici donc les motivations derrière sa suggestion:

  • Do we want to create more competitive opportunities for the student-athletes to better develop?

    Do we want to reduce the number of blow-out games and increase the number of closely-contested competitions?

    Do we want to create more fans and media interest in Canadian university football?

    Do we want to have a product that would be more appealing to national sponsors?

    Do we want to preserve the present playoff format of each conference and of the national championship?

    Do we want more games between programs of the same level without creating a tiered system?

    Do we want to offer a more challenging environment to help recruit even more exceptional football players in CIS?

    Do we want to continue to stimulate the improvement of resources in all football programs across Canada?

    Do we want to move forward or stay stuck in a scheduling model that seems inadequate for a number of universities and the growth of the game.
  •  

Voici donc le document en question (en téléchargement Dropbox, ne faites que Non merci lorsqu'une fenêtre de demande d'enregistrement apparaîtra).

On attends vos commentaires:

mardi 16 octobre 2012

La rince annuelle de Laval

Une constante caractérise les visites de nos ennemis jurés lorsqu'ils viennent nous visiter dans notre bat-CEPSUM, c'est qu'ils viennent subir une rince, peut-être pas dans le pointage, mais statistiquement, c'est incontestable.

C'est ce qu'une compilation des principales statistiques des 4 dernières visites des représentants de la ville à l’aréna virtuel en 3D nous démontre:

Quelques conclusions:

- Peu importe comment on regarde les chiffres, le pointage final a été beaucoup plus serré (sauf en 2009) qu'il n'aurait dû l'être.

- On aurait tellement dû gagner en 2010!

- La rencontre du week-end dernier en est un bon exemple, Laval réussit toujours plus de longs jeux et est très opportuniste pour garder les matches serrés.

- On comprend encore mieux le fameux ouffff que tous les partisans et instructeurs ont laissé échapper après avoir constaté qu'ils ne perdraient pas par plus de 19 points.

- On va devoir transférer cette irrésistible énergie au PEPS-VERIZON-CHERIOS-BRICK si on veut sortir du cercle vicieux des victoires non-significatives.

Alors, après avoir invoqué la présence de C. Sanchez au poste de quart, les blessures à votre O-line, les irrégularités de votre attaque, on vous informe qu'il vous reste moins d'un an pour trouver une excuse applicable en 2013.

Et comme le veut la maxime d'un instructeur de Div. 1, qui dans un moment d'infinies sagesses nous a appris: “Men Lie, Women Lie, Numbers Don't”.

mardi 28 août 2012

Encore des histoires d'admissibilité!

Encore des histoires d'admissibilité!

L'excellent journaliste du Journal de Québec, Richard Boutin a sorti lundi une histoire concernant des nouveaux arrivants Français qui ne seraient pas admissibles à jouer SIC pour l'année 2012, voici le passage le plus pertinent de son article à ce sujet:

Un règlement adopté en 2011 concernant l’admissibilité des joueurs évoluant dans le circuit français explique la situation. « Le circuit français est maintenant considéré comme une ligue professionnelle même si les joueurs ne sont pas payés sauf les étrangers, a expliqué l’entraîneur-chef Glen Constantin.

Je peux comprendre pour des circuits comme la NFL Europe à l’époque, mais il ne faut pas peinturer toutes les ligues avec le même pinceau. » « Comme pour le soccer au Québec, les joueurs de football français doivent payer une licence, a poursuivi Constantin. C’est un circuit amateur. Ce serait vraiment malheureux qu’il ne puisse pas jouer, car il a fait beaucoup de sacrifices pour venir ici. Giovanni Nanguy se retrouvera dans la même situation. »

Les joueurs français doivent maintenant être à l’écart du jeu un an avant de pouvoir faire le saut dans le réseau universitaire canadien. Dans le cas de Dable, il lui reste possiblement une seule année d’admissibilité. Dable devait affronter les Marauders, mais Constantin a été informé de la situation avant le match par son homologue David Lessard, du Vert & Or de Sherbrooke, qui vit une situation identique. « Je suis bien content que David m’ait appelé immédiatement, a indiqué Lessard, plutôt que d’attendre qu’Anthony ait disputé un match. »

Dans l'article les joueurs mentionnés sont les Rouge & Or A. Dable et G. Nanguy. À ceux-là, il faut ajouter notre "vraie recrue" B. Pereira" et celui qui a allumé la mèche de coach Lessard à Sherbrooke , le receveur Paul Braisaz-Latille.

Sauf que... une source généralement bien informée nous a appris que le règlement bazooka ne s'appliquerait pas uniquement aux nouveaux venus, mais également à ceux qui étaient déjà dans l'alignement d'une équipe universitaire et qui se seraient alignés pour leur équipe locale pendant la morte-saison Nord-Américaine.

À ce qu'on sache, dans le cas des Carabins, cela entraîne des problèmes pour notre o-line Alexis Stropiano, qui aurait joué quelques matches pour son équipes des Centaures de Grenoble.


Alexis en est à sa 4e saison à l'UdM, il a débuté comme centre-arrière et a été muté sur la ligne offensive. Il complète son bacc en communication. Il est un athlète-étudiant qui pourrait même être cité comme un modèle d'intégration.

Nous ignorons si le plaqueur défensif (que nous venons tout juste d'interviewer) Franco Pana est touché car nous n'avons pas reçu de confirmation qu'il ait joué en Europe l'an dernier. Y'a t'il d'autres joueurs Français dans d'autres équipes de la LFUQ qui seraient touchés par le nouveau règlement?

Tous ces joueurs sont maintenant rendus à Montréal, Québec ou Sherbrooke, ont payé des billets d'avion, se sont établis dans un pays étranger et sont maintenant confrontés à la possibilité de ne pas pouvoir faire ce qu'ils aiment le plus au monde...

Espérons que SIC, dans sa sagesse pancanadienne, revoit sa décision première et qu'il donne la chance à ces étudiants-athlètes, tout ce qu'il y a de plus amateurs, de pouvoir évoluer dans le circuit universitaire canadien.

Mise à jour:
On a l'impression que notre billet a fait réagir, le même Richard Boutin dans le journal de Québec d'aujourd'hui cite G. Lépine du R & O qui affirme que les 3 universités francophones du Québec font une demande de dérogation auprès de SIC.

lundi 28 mai 2012

Ce n'est pas parce qu'il ne se passe rien, qu'il ne se passe rien...

Ce n'est pas parce qu'il ne se passe rien, qu'il ne se passe rien...
Quelques sujets sont venus sur le sujet récemment et il serait intéressant d'y revenir, ce que nous faisons dès maintenant. Nous y allons de façon interrogative pour susciter la discussion.

S'améliorer en stagnant?

La semaine dernière il a été confirmé que Fredo Plesius refuserait de s'habiller du noir et jaune des TiCats pour revenir dans la LFUQ. De la même façon, une source nous a confirmé que A. Gascon-Nadon et I. Bamba  ainsi que le produit des Dinos de Calgary K. Fabien (tous des clients de l'agent J. Hardaway) et C. Rockhill feraient de même.

Regardez le highlight dominant de F. Plesius ou le fait qu'A. Gascon-Nadon ait remporté lors des deux dernières années le trophée individuel remis au joueur de ligne défensive au football SIC. Dans une carrière aussi limitée dans le temps que celle d'un footballeur, on se demande ce que ces joueurs vont apprendre dans une ligue où ils ont prouvé qu'ils dominaient. N’oubliez pas que dans ces deux cas, ces joueurs sont déjà plus vieux que leurs homologues américains sortant des collèges.

Pour être honnête chaque joueur vit une situation particulière et tente de prendre la meilleure décision pour son avenir professionnel, et non seulement sportif. Ainsi, J. Beaulieu-Richard, dans un programme "continu" comme la pharmacie n'avait pas le luxe de pouvoir suivre des cours à distance ou autre arrangement académique compensatoire. Un autre exemple est K. Fabien (OL) mentionné ci-haut, qui n'est âgé que de 21 ans, et n'est pas dans la même position que les joueurs du Rouge & or notamment.

Marc-O Brouillette qui vient de passer son barreau la semaine dernière, deux ans après avoir complété sa 4e saison avec les Carabins est un très bon exemple qui démontre que les études ne s'arrêtent pas après un séjour SIC. La carrière CFL donne une latitude idéale pour quelqu'un qui veut étudier en hiver, lorsque le champ d'étude le permet, entre deux saisons de football.

Comme Samuel Giguère l'a démontré, on sait bien que le salaire dans l'équipe de réserve de la NFL rapporte plus qu'un salaire de recrue de la CFL (75k vs 50 k approx), mais nous croyons que nous approchons du niveau ridicule.  F. Plesius a pourtant obtenu une chance au mini-camp des Eagles où il n'a pu réussir à faire partie de l'équipe du camp d'entrainement (90 joueurs). Si son talent est aussi incontournable, pourquoi ne pas faire comme Solomon Eliminian qui est venu faire ses preuves au Canada deux ans avant de se faire offrir un contrat par les Vikings du Minnesota?

On suspecte que les succès de C. Greenwood, qui a paraphé cet hiver un nouveau contrat de 4 ans (non-garanti) avec les Chiefs de Kansas City, ait créé une précédent qui est grandement envié par ses ex-confrères. Rappelons que Corey Greenwood compte sur J. Hardaway comme agent...

Dans un récent billet, Jim Mullins remet l'odieux sur la nouvelle convention collective (CBA) de la NFL qui retire justement la possibilité pour un joueur sous contrat CFL d'aller faire un essai NFL à son année d'option.

On entend souvent que les meilleurs joueurs ne craignent pas les défis et veulent toujours se confronter aux meilleurs pour s'améliorer, pourtant dans ce cas précis, on peut affirmer qu'ils prennent exactement la voie contraire.

L'avenir nous dira s'ils ont pris la bonne décision...


Une Super ligue?

Nous avons été toujours sceptiques de la possibilité d'une ligue pancanadienne telle qu'espérée par plusieurs partisans, particulièrement ceux de Laval, qui s'ennuient profondément lors de blowouts à répétition des leurs à domicile.

Nous trouvions que le débat était un peu inutile parce que dans notre grand pays ad mare usque ad mare, les coûts de transport transcanadien en faisaient en problème insoluble. Dans cet article d'Alain Goupil de La Tribune, on apprend que Sports Canada pourrait faire partie de l'équation et promouvoir d'une façon inattendue les sports interuniversitaires.

L'article mentionne également la volonté de Bishop's de maintenir une équipe de football au sein de la LFUQ.


La fin du commissaire?

Dans le même article, on sous-entend que le commissaire Tom Allen en serait à sa dernière année comme commissaire de la LFUQ (nous retenons nos larmes de crocodile). Le poste de commissaire serait même aboli.

Il semble qu'une réunion lors du prochain mois fera progresser ces différents dossiers...