mardi 20 octobre 2015

Et si...

...coach Maciocia laissait #12 H. Henderson débuter le match des Carabins contre Bishop's samedi prochain ?



On sait que #4 Cousin Gab avait été amené précautionneusement en 2011 et 2012 à prendre la succession de A. Nadeau-Piuze comme pivot. Cependant en 2013, lorsqu'au lieu de devoir prendre le ballon au 4e quart dans des causes gagnées d’avance, il devait amener son équipe à la victoire, la tâche devint beaucoup plus difficile.

En fait, il ne parvint à s'imposer dans son rôle de partant que l'année subséquente.

Alors, pourquoi ne pas donner le ballon à l'ex-joueur par excellence de la Division 1 après l'hymne national et lui dire... montre-nous ce que tu peux faire ??

Car de toute évidence, ce sera à lui de mener la barque Bleue en 2016, et cette opportunité serait une grande expérience qui lui permettrait de mieux se préparer pendant l'hiver à venir.

La LFUQ entière a traversé Bishop's en 2015, donc le défi est raisonnable. Laval a battu Bishop's  avec son 2e quart-arrière... Et à la veille de la période la plus cruciale de l'année, une semaine de congé ne fera pas de mal à Gabriel. Il pourra reprendre son rythme au dernier match de la saison contre Concordia et sera en pleine forme pour aborder ses dernières éliminatoires avec la soif de vaincre qu'on lui connaît (avec en bonus, un adjoint plus expérimenté).

jeudi 14 août 2014

Les Carabins et les Alouettes, même combat...

Une introduction un peu intrigante vous croyez?

Un scène qu'on veut voir plus souvent - Photo Domskibum
On sait que depuis le début de l'année (ou la retraite de Calvillo si vous préférez), les Alouettes ont un immense problème à faire avancer le ballon par la voie aérienne... Nous allons vous démontrer que les Bleus ont éprouvé un problème similaire l'an dernier.

En effet, à la veille de l'ouverture des camps, on se permet de regarder sur une des faiblesses criantes des troupiers de Coach Maciocia:

La passe

En 2013, les Carabins ont terminé 26e sur 27 équipes de SIC quant au nombre de passes tentées, de passes complétées ainsi que de passes de touchés (4!!!). La seule équipe plus poche que nous à ces chapitres étant Saint Mary's. N'empêche que nous sommes devancés par Carleton, Mount Allison et Waterloo (entres autres).

Anachroniquement, l'entraineur-chef coach Maciocia est un adepte du jeu vertical et s'il n'était pas employé par l'UdM, il serait assurément coordonnateur offensif quelque part pour une équipe professionnelle canadienne...

Les archis-rivaux

Il est pratiquement impossible de parler des Carabins sans parler de leur némésis, l'équipe au bout de la 40. Le Rouge et Or parvient plus souvent qu'autrement à vaincre les Bleus en s'appuyant sur les toujours mêmes deux mamelles:

- On étouffe la course au sol.

- On ne crée pas de revirement quand on est à l'offensive.

Et suivant ces simples théorèmes inéluctables depuis les touts débuts des affrontements face aux Bleus, les bicolores dorés ont compilé depuis 2002 une fiche de 14-5 face aux Bleus en plus de nous infliger 7 défaites (cruellement douloureuses) en éliminatoires. Ils ont remporté leurs 3 affrontements contre nous la saison dernière de façon honnête et carrée.

Vous ne croyez pas qu'un jeu de passe efficace et menaçant serait la clé pour briser cette malédiction qui afflige les locataires du CEPSUM depuis leur retour dans la LFUQ ? La seule année où nous avions effectivement cette arme était 2012, où nous nous sommes incompréhensiblement écroulés face au Renard en demi-finale de la Dunsmore.

Argument supplémentaire, cette année les Carabins affichent la meilleure unité de receveurs de leur histoire. Possiblement que l'année des F. Bruno, Y. Pierre et D. Kouamé, il y avait plus de talents chez les partants, mais nous n'avons jamais approché la profondeur de la brigade 2014:

Les partants potentiels: Le Prince A. Ndao (on s'attend à ce que ça soit SON année), Mickhaïl -les trémas- Davidson, Maxou Fournier-Rioux (qui revient à sa 5e année) et Philip Enchill.

Les prétendants: Timothée Godber, A. Vendrame, S. Nadeau-Piuze, A. Huard, R. Cibasu, G. Marinello et quelques autres recrues assoiffées...

Regardez ça de l'angle que vous vous voulez, il y a de la qualité et de la quantité impressionnante là-dedans... Il ne faut que leur remettre le ballon, encore et encore...

La bonne nouvelle ? Contrairement aux Alouettes, les Carabins ont du temps et un camp d’entraînement entier pour mettre en place une attaque aérienne efficace avant les séries éliminatoires.

mardi 16 octobre 2012

La rince annuelle de Laval

Une constante caractérise les visites de nos ennemis jurés lorsqu'ils viennent nous visiter dans notre bat-CEPSUM, c'est qu'ils viennent subir une rince, peut-être pas dans le pointage, mais statistiquement, c'est incontestable.

C'est ce qu'une compilation des principales statistiques des 4 dernières visites des représentants de la ville à l’aréna virtuel en 3D nous démontre:

Quelques conclusions:

- Peu importe comment on regarde les chiffres, le pointage final a été beaucoup plus serré (sauf en 2009) qu'il n'aurait dû l'être.

- On aurait tellement dû gagner en 2010!

- La rencontre du week-end dernier en est un bon exemple, Laval réussit toujours plus de longs jeux et est très opportuniste pour garder les matches serrés.

- On comprend encore mieux le fameux ouffff que tous les partisans et instructeurs ont laissé échapper après avoir constaté qu'ils ne perdraient pas par plus de 19 points.

- On va devoir transférer cette irrésistible énergie au PEPS-VERIZON-CHERIOS-BRICK si on veut sortir du cercle vicieux des victoires non-significatives.

Alors, après avoir invoqué la présence de C. Sanchez au poste de quart, les blessures à votre O-line, les irrégularités de votre attaque, on vous informe qu'il vous reste moins d'un an pour trouver une excuse applicable en 2013.

Et comme le veut la maxime d'un instructeur de Div. 1, qui dans un moment d'infinies sagesses nous a appris: “Men Lie, Women Lie, Numbers Don't”.

mardi 1 novembre 2011

Tom Allen sort de son mutisme...

Il a daigné accorder une entrevue hier au journal Estrien La Tribune et son journaliste Alain Goupil...

On espère que ceux qui entretenaient des doutes quant à la partialité du commissaire sont maintenant rassurés. En passant, est-ce normal qu'un commissaire de ligue n'adresse la parole aux médias maintenant que la situation est devenue si explosive ?

"Tom Allen a indiqué qu’il n’était pas d’accord avec la décision du Comité d’appel d’instance finale (CAIF) du RSEQ qui a redonné aux Carabins la victoire qui leur avait été enlevée pour avoir fait jouer un joueur inéligible, en l’occurrence Mike Dubuisson."

Il poursuit:

Est- ce que je suis d’accord avec la décision du CAIF? Bien sûr que non. Est- ce que je dois la respecter? Je n’ai pas le choix »
Mais ça ne sent pas la rancune. Lorsqu'il explique le point concernant le vice de procédure, il glisse sur le vice en question, et s'abstient évidemment de parler de la jurisprudence qui a fait pencher la décision en faveur des Carabins.


Sur le cas Jonathan Pierre-Étienne

En mai dernier, lors d’une réunion de la ligue, Allen dit avoir reçu des consignes claires de la part des six universités à l'effet qu’il fallait dorénavant protéger les quarts- arrières ainsi que tous les joueurs en position de vulnérabilité.
«J’ai regardé attentivement le film du match et le plaqué était non seulement dangereux, mais le quart-arrière n’était même pas près du ballon.»
On rappelle gentiment au commissaire que le cut block est exactement ce que ça veut dire, UN BLOC, dont le but est d'empêcher un joueur d'effectuer un jeu plus loin sur le terrain. Après la dernière interception qu'il a concédé au V & O samedi, c'est A. Nadeau-Piuze qui a effectué le plaqué de sa position de quart-arrière, sauvant ainsi un touché.

On rappelle que de mémoire d'amateur de football, JAMAIS une suspension n'a été appelé pour un cut block (qui n'était pas une tentative de blessé, sinon l'arbitre qui a donné la punition de 10 verges aurait sorti Jonathan du match) dans aucune ligue, sauf celle sanctionnée par le commissaire Allen.

Désolé de la résolution - Photo Deux Fans
Donc, on espère que le commissaire reçoive des directives en mai prochain concernant les suckers punch envoyés en pleine télé nationale, pour qu'il puisse également sévir sur ce type de jeu, non moins dangereux à l'avenir.

Enfin, Tom Allen dit avoir été mis au courant des critiques virulentes et des accusations qui pleuvent à son égard sur internet: «Certaines de ces remarques m’ont profondément blessé. Les gens qui me connaissent savent que je suis quelqu’un de très sensible..."


On se sent un peu visé, mais on pose la question: quelles accusations? Le désir de vengeance???

I rest my case your honor.

Couverture médiatique

Un Bravo bien sentit à La Tribune de vouloir informer ses lecteurs des enjeux de la LFUQ, sans partialité.

Pendant ce temps dans La Presse, le journaliste Pascal Milano nous pond un passionnant article sur un jeune joueur de soccer provenant du Burkina Faso qui a reçu il y a 4 ans une bourse d'études en Mongolie intérieure pour parfaire son apprentissage du ballon rond. Il recevrait actuellement un certain intérêt de la part de l'entraineur Anglais Gary Smith des Rapids du Colorado de la MLS.

Quant à lui, mononk Ronald King consacre sa chronique entière à une nouvelle activité qui a vu le jour au parc Jeanne-Mance dans les derniers mois... Il s'agit de femmes enceintes de plus de 4 mois qui s'attachent des raquettes de tennis aux pieds et qui effectuent le lancer de la pelote de laine le plus loin possible après avoir pris leur élan... le geste présente beaucoup de similitudes au lancer du javelot, mais de façon moins brutale et avec l'handicap des raquettes... Des spectateurs de toutes les ethnies, de tous les âges et de partout dans Montréal suivent les ébats de ces dames avec passion et enthousiasme. La capitaine de l'équipe, Yéten Konaccouch a avoué à Ronald que les filles songeaient à se joindre à une ligue américaine qui a popularisé ce sport dans tout l'est des États-Unis.

P.S.: En passant, on a entendu à travers le branchage que de mauvaises langues insinuaient qu'on faisait la job de bras pour de l'UdM dans cette histoire... Oubliez ça, s'il y a quelque chose, l'UdM préférerait ( et de beaucoup) qu'on s'abstienne d'en parler!

lundi 31 octobre 2011

Sport. Éducation. Fierté

La d-line des Carbs arborait des bas roses en hommage au #89 - Photo Dom Bernier
Au cas où vous ne les reconnaitriez pas, ce sont les mots employés par le RSEQ pour signifier sa mission. On les voit afficher un peu partout, sur leur site web, leur camionnette, leur littérature, etc...

Jonathan Pierre-Étienne, un étudiant en droit à l'Université de Montréal, a reçu une partie de suspension pour un  plaqué illégal, en plus du 15 verges appliqué contre son équipe.  Les 100 derniers joueurs de football a avoir posé un tel acte ont subi uniquement le recul de 15 10 verges. La victime du plaqué, le quart de Concordia Reid Quest était de retour sur la série suivante et se déplaçait normalement derrière la ligne de mêlée. Il était le quart partant de son équipe en fin de semaine contre McGill et il pourrait bien recevoir a reçu le titre de joueur de la semaine dans la conférence pour sa performance.

Bruno Heppel du 98.5 FM mentionnait à la radio qu'à travers toutes ses années au football, il n'avait jamais été témoin d'une suspension pour un cut block*. De plus, aucune personne de son entourage n'avait d'exemple similaire à lui rapporter.


Sans vouloir reprendre le débat du début, 90% des observateurs du football universitaire sont d'accord avec le fait que la le RSEQ / le commissaire de la LFUQl Tom Allen ont, de toute évidence, imposé cette suspension uniquement pour se venger des Carabins qui les avaient fait mal paraître en les amenant devant le CAIF dans le cas Dubuisson. Et on ne peut dire qu'ils se sont affichés sur la place publique pour se défendre de quelque façon...

Au-delà des Carabins, celui qui paie le gros prix là-dedans n'est pas le joueur suspendu? #89 Jonathan Pierre-Étienne dominait tous les joueurs universitaires canadiens cette année avec 10 sacs et avait une chance unique pour un athlète d'attaquer le record de SIC de 12 sacs établi par Leroy Blugh. Grâce à la magnanimité (sic) de RSEQ/Tom Allen, on retire injustement à PY la possibilité d'inscrire son nom dans le livre de record SIC...

Après le match, on s'est entretenu avec Jonathan "Le Sénateur" Pierre-Étienne et il convenait que sous le feu de l'action, immédiatement après le revirement, il s'était jeté devant le QB de ConU, mais il ne s'était pas jeté directement dans ses genoux. Il reconnaissait son erreur, et croyait que la pénalité de 15 verges serait sa seule sentence. Quelle ne fut pas sa grande surprise d'apprendre, JEUDI SOIR, à sa totale stupéfaction, qu'il ne pourrait pas disputer avec ses coéquipiers le match le plus important de l'année.

Avec le succès grandissant de la LFUQ et la popularité du football universitaire, on devrait avoir droit à un VRAI commissaire, et non pas un ex Bishopois qui possède une adresse de courriel active à BU. On sait que c’est commun dans le sport étudiant d’utiliser des anciens dirigeants du Réseau dans des fonctions semblables, mais le football universitaire est rendu trop gros et il faudra apporter des ajustements. Un type tel un Gilles Courteau qui veillerait à l'épanouissement de la ligue et du respect de ses règlements en toute impartialité. Où à tout le moins, un espèce de préfet de discipline (ancien joueur) à la B. Shanahan. De surcroit, et peut-être le plus important, un type qui travaille pour la ligue et qui doit aller au micro pour expliquer ses décisions et répondre aux questions des journalistes et par ricochet des partisans ...

Des intervenants divers nous ont signalé que Tom Allen a vécu de difficiles moments personnels la semaine dernière. Nous en sommes désolé et lui souhaitons de bien s'en remettre... Mais, à quelque part, en occupant un poste avec tant de pouvoir, si on allume la mèche, il faut s'attendre à ce que ça fasse "BOUM"!

La RSEQ et le commissaire de la LFUQ devraient songer sérieusement à relire leur mission, face à la décision qu'ils ont prise eu égard à un vrai joueur étudiant qu'ils font payer pour leur péché d’orgueil. Les structures destinées aux étudiants devraient, à chacune de leurs décisions, avoir le mieux-être des étudiants en tête, et non pas leur propre confort bureaucratique.

Loin de nous l'idée de faire passer Jonathan pour un ange, mais dans toute la saga, Jonathan Pierre-Étienne, le corps couvert de balafres suite à de nombreuses opérations attribuables à la pratique de son sport, le joueur qui a connu une belle carrière sportive au niveau scolaire, que ce soit au collégial ou à l'universitaire (NCAA et CIS), SANS JAMAIS ÊTRE RÉMUNÉRÉ, tout en complétant 2 baccalauréats, est définitivement celui qui incarne le mieux les valeurs Sport.Éducation.Fierté.


* Un joueur a le droit de commettre un cut block, mais uniquement sur la ligne de mêlée. Il lui est interdit de faire un tel geste lors d'un revirement. Évidemment, Jonathan connaissait le règlement.

P.S.: On ne croit pas que la présence de PY aurait changé l'issu du match et ce n'est pas le point qu'on veut soulever par ce billet... À moins qu'il n'ait terminé le match avec 14 plaqués... Mais là, nous sommes dans la pure spéculation, un d-line ne peut accomplir ça...

P.S.S.: Information supplémentaire sur Tom Allen, qui malgré cette tache, a été considéré comme un pilier hautement considéré du sport universitaire au fil des ans.

vendredi 28 octobre 2011

Jonathan Pierre-Étienne suspendu!

Jonathan Pierre-Étienne suspendu!
Encore un fois, un coup de théâtre secoue les Carabins...

Les faits
Selon toute vraisemblance, on apprend que l'exceptionnel joueur de ligne défensive, meneur pour les sacs au Canada, serait suspendu pour l'importante partie que les Carabins vont disputer aux Vert & Or demain!

Selon ce qu'on a glané ici et là, la nouvelle n'étant pas encore officielle au moment d'écrire ce billet, #89 J. Pierre-Étienne serait suspendu pour la durée d'une partie pour avoir cut blocké le quart des Stingers Reid Quest, suite à l'interception de #2 A. Coady au début du 4e quart.

Nous avons assisté au match live à Loyola et avons visionné le match 2 fois à la télévision et nous n'avions rien vu de répréhensible, mais donnons le bénéfice du doute à la RSEQ qui a sans doute appuyé sa décision sur le game films.

D'autres faits

Depuis les années que nous suivons le foot universitaire, nous n'avons jamais vu la RSEQ imposer a posteriori des suspensions à moins que ce ne fut à cause de circonstances exceptionnelles (bataille ou autre fait hors du commun), pourquoi cette fois-ci agit-elle ainsi?

Supposons que les faits reprochés soient tels qu'ils méritent une telle suspension. On regarde le film le lundi, et on annonce la suspension le mardi, non ? Pourquoi doit-on attendre au vendredi avant un match d'une telle importance pour annoncer officiellement la suspension. Les instructeurs se voient confrontés à s'adapter à la dernière minute à la situation, alors que le mardi leur aurait donné le temps de revoir leur stratégie face à la perte d'un joueur d'une telle envergure dans un match aussi important.

Dans le même match, à la télévision nationale, on voit Chris O'Kill asséner un sucker punch gratuit au ventre à #14 Nicolas Guimond. Comment as t'on fait pour ne pas voir et punir ce geste en revoyant le film?

Toujours dans le même match, #7 David Ménard se fait blindsighter inutilement alors qu'il reste moins de 2 secondes avant la demie et que le ballon est à environ 35 verges de là et que le jeu est, à toute fin pratique terminé... Le choc est tellement violent que David en perd son casque. Y'a t'il une suspension à venir à l'auteur de ce geste?

Il a y deux ans à Bishop's, Marc-O Brouillette avait été victime d'un late hit vicieux commis par Eli Ngoyi, qui avait laissé le  le quart des Carabins inconscient sur le terrain, sévèrement commotionné. Il manquera le reste de la partie ainsi que le match ultérieur. Pourtant jamais la RSEQ n'avait pris le téléphone à la suite de ce geste, pourtant évident à la face de tous...

Dans tous les matches de football universitaire, si on les regarde à la loupe après-coup, il y souvent des jeux isolés qui pourraient être passible de suspension. Pourquoi jusqu'à aujourd'hui, la RSEQ n'avait jamais réagit face à de tels évènements... pourquoi aujourd'hui prend elle les grands moyens?

Serait-ce parce que la RSEQ se sent humiliée de s'être fait débouter la semaine dernière par son excroissance le CAIF, qui a renversé sa décision quant au cas Dubuisson ainsi que son premier appel rendu? Est-ce possible que cette suspension soit provoquée par la rancœur, suite à la ténacité de l'équipe Bleue d'aller au bout du dossier, et qui ultimement, à l'unanimité générale, laisse à la RSEQ un oeil au beurre noir?

Poser la question c'est y répondre.

 
P.S.: Sur Twitter, l'excellent secondeur des Carabins #50 Jonathan Beaulieu-Richard a écrit hier soir:
"They keep throwing us rocks,  we keep knocking them out of the park."

P..S. 2: Allez les Bleus!