vendredi 7 novembre 2014

Demi-finale de Dunsmore - Un air de Déjà Vu...


2010 - 2012- 201? - Les visites du Vulpes Vulpes au CEPSUM dans la demi-finale du Dunsmore possèdent un historique de tueur de rêves pour les partisans des Carabins.

Pour éviter une répétition en 2014, il faudra s'assurer de les prendre au sérieux, mais également de réaliser qu'ils vont jouer 4 quarts. Particulièrement lorsqu'on sait qu'un autre facteur de résilience chez les Verts est la présence de 11 finissants au sein de l'équipe. Finissants qui voudront étirer leurs carrières footballistique encore un peu.

Ce qui est intéressant, c'est que les deux équipes arrivent au CEPSUM avec relativement peu de blessés et avec la confiance au maximum, ayant toutes deux affiché de belles performances depuis quelques matches.

Alors, qu'est-ce que les Carabins devront faire pour gagner?

En défensive:

Se méfier de la foutue recette de coach Lessard qui pousse toujours au sol jusqu’à ce qu'il trouve une brèche. Lorsqu'il la trouve, au lieu de l'exploiter, il se met à passer (habituellement des lobs profondément à gauche et à droite) et nous regarde tenter de se débrouiller les culottes baissées.

Il faudra être agressif, blitzer pour ne jamais laisser Jay Roch s'installer à l'aise dans sa pochette. Les demis défensifs devront s'affirmer physiquement devant les plus petits receveurs Verts pour les ralentir et les faire dévier sur la ligne de mêlée, en plus de les frapper solidement lorsqu'ils se placeront dans une situation vulnérable en réception de passe.

En offensive:

Coach Maciocia disait en entrevue cette semaine que la recette actuelle fonctionne bien et qu'il n'a pas l'intention de la changer. On ne saurait l'en blâmer. Le point faible du renardeau est qu'ils n'ont réussi que 17 sacs pendant la saison régulière, #4 Gab Cousineau devrait en tirer parti pour inscrire des dommages en zone profonde.

Mais on aurait également tendance à dire: Prendre ce qu'ils nous donnent, mais surtout ne pas lâcher et inscrire des points, encore des points et toujours de points jusqu'à ce qu'il ne reste plus de minutes au cadran... Les partisans des Carabins ne veulent pas revivre 2012...

Les unités spéciales et autres impondérables:

Chez les unités spéciales, des botteurs de grande qualité: #82 F. Ménard-Brière (no. 3 en distance de la RSEQ) et M. Hébert (no. 2) devraient nous en mettre plein la vue. Les 2 équipes possèdent de bons retourneurs, mais on donne un léger avantage à ceux de Sherbrooke (compte-tenu qu'on hait voir #88 M. Davidson retourner des ballons).
 

Les Carabins partant favoris, ils devront limiter les revirements au minimum (ce qu'ils ont bien fait cette année). Comme il arrive souvent avec le V & O, les pénalités ne devraient pas être trop un enjeu, ceux-ci ayant tendance à être aussi puni que nos Bleus.

Bon match à tous...

jeudi 30 octobre 2014

Match #8 - La visite attendue...

Ça risque d'être une bataille de gros bonhommes - Photo: Domskibum
Visite attendue de nos archi-rivaux de Québec samedi. On annonce nuageux, frisquet (7 degrés), 70% de pluie, mais pas trop venteux. Le football des éliminatoires est à nos portes.

En défensive

On sous-estime (si c'est possible) l'attaque du Rouge et Or depuis l'arrivée de H. Richard. Celle-ci a jusqu'à maintenant inscrit une moyenne de points par partie supérieure à toutes ses années antérieures. La défensive des Carabins devra donc être parfaite pour limiter les innombrables façons de marquer des points des visiteurs.

On sait qu'au premier affrontement, les Carabins avaient empli la boîte pour forcer le RetO à passer... Et bien celui-ci a effectivement passé... pour 371verges de gains par la voie aérienne!

On a vu pendant toute la saison que notre ligne défensive peut tenir le fort, mais pour appliquer efficacement de la pression, elle doit utiliser le blitz.

H. Richard quant à lui, a passé la saison derrière sa ligne offensive format géant sans jamais se faire achaler, étant victime de seulement 7 sacs. Les Bleus se doivent de le presser pour tenter de lui faire perdre son aplomb. Mais blitzer veut également dire être vulnérable au sol et sur les passes voilées... la pression tombera donc sur les épaules de coach Maciocia pour appeler le bon jeu au bon moment.

Évidemment, comme dans tout match contre Laval, chaque plaqué, chaque bloc, chaque jeu sera important. Les vétérans devront nous en donner beaucoup.

En offensive

Doit on souligner comment c'est difficile de faire avancer le ballon contre le RetO, particulièrement quand notre jeu au sol n'est pas le plus constant. On s'amène cependant avec un quart qui brille de mille feux et une brigade de receveurs qui saisit tout ce qui leur est lancé...

Le défi majeur sera de donner le temps à #4 Gab Cousineau de repérer ses receveurs et de tenter de cisailler la tertiaire adverse. Ils affronteront sans contredit le joueur de ligne par excellence de la LFUQ V. Desloges . Son opposant (G. Sylvestre?) aura la tâche de le contenir... Belle journée en perspective pour une recrue...

Lors de notre visite à Qc, on a vu que les amateurs d'Ashton avaient de la difficulté à contenir les #88 M. Davidson et #1 Swisskinfe Erlington. On peut maintenant ajouter #3 Bazooka Cibasu à ce groupe sélect. Ces trois-là doivent avoir des ballons en course et faire manquer des plaqués.

Les Unités spéciales

Avec B. Bédé de leur côté et un retourneur constant comme A. Dufour, on se doit de donner l'avantage au RetO.

De notre côté, A. Huard et G. Marinello blessés depuis le début de la saison n'ont jamais pu solutionner le problème des retourneurs qui nous hante depuis l'an dernier.

Du coté des botteurs, coach Maciocia semble avoir pardonné la contre-performance de #18 L-P Simoneau à ConU en lui confiant la responsabilité des bottés de placement à Bishop's.

Et puis, le différentiel de 28 points

Soyons francs, simplement marquer 28 points contre les troupiers du général Constantin est un exploit en soi. À l'exception de la perte de contrôle à Bishop's l'an dernier et de la Vanier de K. Quinlan en 2011, les Carabins sont les derniers à avoir inscrit 28 points (exactement) contre Laval en 2009. Quant à un différentiel de 28 points ...

Toutefois, étant de nature positive, on voit deux façons d'atteindre cet objectif:

- Une blessure (qu'on ne souhaite pas) tôt dans le match à H. Richard, exposant leur seul point faible:  le manque d'un second Q-A.

- Une mauvaise journée dans le corps du Rouge et Or qui accorderait des tonnes de revirements en notre faveur entraînant que l'écart se rétrécisse graduellement ajoutant ainsi une pression insoutenable sur Laval comme une inéluctable downward spiral...

Salmigondis

On va s'asseoir tôt dans la Sexxxion 6 pour voir la présentation des joueurs, mais surtout pour voir le "après". On sait qu'à Québec, les joueurs du R et O étaient massés à leur ligne de 45 et narguaient les Carabins. Ceux-ci, depuis plusieurs matches récents entre les 2 équipes, font leurs petites affaires sans répondre à la provocation. Cependant, depuis que l'on applique cette nouvelle recette toute à notre honneur, nous n'avons pas réussi à vaincre l'ennemi juré. À suivre...

jeudi 23 octobre 2014

Match #7 - Barney et le temps continu...

Une scène qui risque de se répéter souvent - Domskibum
Visite télévisée des Carabins au Barneyland samedi... Comme il ne s'agit pas d'un match avec un dénouement particulièrement attendu, nous allons souligner les points que nous surveillerons lors de cette rencontre:

De prime abord, l'alignement. Suite à deux semaines d'inactivité, allons-nous voir des revenants de blessures que nous n'avons pas vus depuis longtemps ? Est-ce que la blessure à LO #66 M. Laliberté est aussi grave qu'il le croyait au dernier match ?

Parlant du dernier match, avec le temps froid (et souvent venteux) qui devient de plus en plus fréquent à l'approche de l'hiver, est-ce que notre ligne offensive va pouvoir contribuer à imposer le jeu au sol cette fois?

On va aussi noter la synchronisation sur les jeux à l'attaque, ainsi que les pénalités en général (bien que nos espoirs soient ténus dans ce domaine).

Les Carabins nous rappelaient aujourd'hui que quelques records prestigieux (dont le plus de touchés, le plus de plaqués ainsi que le plus de sacs en une saison) pourraient être établis au cours de ce match.

On prête toujours une attention spéciale à nos demis de coins, et nous allons continuer à le faire à la veille de 3 affrontements où ils se feront assurément tester. Toujours à sur ce même sujet, est-ce que #38 Jordan R. retrouvera son poste?

Va t'on voir les substituts sur le terrain plus tôt qu'à l'habitude afin de minimiser les risques de blessures et leurs donner du temps de jeu ?

Et la question ultime: Allons-nous avoir le privilège d'avoir droit à du temps continu au 4e quart ?


vendredi 10 octobre 2014

Match #6 - Les dangereux Piqueurs

Une image qui n'est pas rare au campus Loyola - Photo Domskibum
Donc, on va traverser le boul. Décarie samedi midi pour aller retrouver nos ennemis montréalais: les Piqueurs. Une victoire des Carabins nous assurerait probablement la demi-finale de la Dunsmore au CEPSUM. Nous avons supputé sur les différentes possibilités de classement dans le forum.

Voilà un peu ce qu'on s'attend à voir:

À l'offensive:

À l'exception de quelques épisodes (à Québec, ainsi que la passe course de #88 M. Davidson la semaine dernière où la première drive a traversé le terrain) la machine offensive bleue a toujours été longue à se mettre en branle. Les premiers jeux semblent souvent difficiles à obtenir pendant le premier quart. On va donc souhaiter que les engrenages se mettent en place rapidement. Particulièrement si #1 Swissknife Erlington revient au jeu.

La défensive très respectable de ConU constituera un bon test pour une offensive qui (si on excepte le match à Laval) n'a pas vraiment connu de bas jusqu'à maintenant. Ce qui est historiquement assez rare chez les Bleus.

En défensive:

Avec la défection de leur porteur Gunner Tatum, le jeu au sol des Piqueurs avec les demis offensifs #7 Kevin Wade et #34 Olivier Dupont n'empêcheront pas le sommeil de la ligne défensive des Bleus. On imagine que les ConUniste voudront lever le ballon pour le faire avancer. On ne croit pas qu'ils pourront percer le mélange de blitz et de formations différentes que les Carabins leur présenteront.

Les Unités Spéciales:

Rendu au 6e match, on sait pas mal à quoi s'attendre. On ne devrait pas donner grand-chose aux Bourgognes et Or et on ne devrait pas faire grand-chose non plus... et on devrait perdre une soixantaine de verges de pénalités à cause des retenues et des plaqués par-derrière sur les retours de bottés.

On va évidemment prêter attention aux bottés de placement de #18 L-P Simoneau qui a réussi 7 de ses 8 tentatives depuis qu'il a obtenu la pôle de botteur de placement.

Les impondérables

Pour tout partisan des Carabins, les matches contre les Stingers signifient souvent cheap shots et blessures graves.  Pour vous aider à remémorer, rappelez-vous des blessures à G. Quiroga ACL et pied, career ending), Frank Bruno (ACL), Alexandre Dupuis (ACL), et l'an dernier Simon Légaré (ACL).

Espérons que le bel élan de l'année 2014, qui s'est déroulée sans trop de blessures graves jusqu'à maintenant, se poursuive au-delà de cette rencontre.




jeudi 2 octobre 2014

Match #5 - Qui est meilleur quart de la cuvée 2011?

 
L'irrésistible one-two punch G. Cousineau - M. Davidson - Photo Domskibum
On dit beaucoup de choses sur le Vert & Or de Sherbrooke. Mais pour les partisans des Carabins, il y a une chose dont on est certain, c'est qu'il ne faut pas prendre cette équipe à légère. Particulièrement quand ces rivaux n'ont aucun complexe à venir renverser les Montréalais au CEPSUM

En effet, depuis 2010, les deux équipes ont une fiche de 5-5 au total de leurs affrontements. Donc, prévoir une victoire haut la main des Bleus serait faire fi d'un passé ohhh combien douloureux...

En offensive:
Lors des dernières rencontres, nos succès contre l'élite de l'Estrie ont toujours été obtenus avec le jeu au sol. Cependant, notre ligne à l'attaque est moins lourde que par les années passées, et avec un #1 Swissknife Erlington qui sera peut-être (ou pas) de retour d'une blessure à la cheville, le sol reposera sur les épaules de #27 Crazy-Lauzon et de #32 N. Dubeau, deux porteurs qui ont pas mal le même style "fonce dans le tas". Crazy ayant de meilleures mains et N. Dubeau étant plus explosif.

Depuis le début de l'année, l'essence de l'attaque montréalaise s'est jouée avec les passes impeccables du quart-arrière #4 G. Cousineau, nous verrons ce qu'il peut faire dans les conditions météorologiques difficiles anticipées.

Notons que le #6 Prince Ali a fait un retour dans l'alignement (suite à une blessure à une cheville) vs St-Fx où il a évolué principalement comme retourneur de bottés en seconde demie.


En défensive: 
Nous n'avons rien donné au sol depuis le début de la saison, et ce malgré des blessures à #95 O. Daoust-Pichette et #52 M. Girard. On sait que le 5e année Mathieu jouait avec un plâtre à une main à Antigonish. Alors, on a bon espoir de contenir l'offensive au sol de Sherbrooke avec des piliers comme #91 Jr Luke et #41 By-Ray.

On portera un œil particulier sur le porteur de ballon Vert recrue #34 F. Marquis-Chevrier qui avait manifesté son intérêt de poursuivre sa carrière en Bleu lorsqu'il évoluait avec Grasset, mais qui a succombé aux charmes de coach Lessard quand il a vu les Carabins lui préférer Gabriel Parent. (Pour la petite histoire, G. Parent se s'est pas présenté au camp d'entraînement pour des raisons académiques et il écrivait récemment sur Twitter qu'il était courtisé par plusieurs équipes et qu'il voulait régler ça avant le 1er novembre).

Au niveau aérien, avec la blessure à F. Lapointe, il ne reste plus que le poison montréalais #1 S. Blanchard comme cible de haut niveau pour #12 Jay Roch. Comme on en a débattu dans le forum cette semaine, la solution pour contrer ce duo léthal n'est pas évidente pour les Bleus.

Unités spéciales
Va t'il y avoir du vent ou pas ? Là est la question. Mais au niveau "botteur", les deux équipes s'équivalent pas mal. On va prêter attention si la recrue #18 L-P Simoneau peut poursuivre sa séquence de bottés de placement réussis (5) débuté la semaine dernière.

Évidemment, ne vous fâchez pas si les Carabins ont des punitions pour avoir retenu sur les retours de bottés, ÇA FAIT 10 ANS QUE ÇA DURE!!!

Le meilleur quart de la cuvée 2011 ?

En octobre 2010, tous les yeux étaient tournés vers Vanier et son quart vedette Jérémi Doyon-Roch, qui venait de fracasser tous les records collégiaux et était sûrement le quart collégial le plus attendu depuis longtemps (toujours?). Il passera les 2 années suivantes à progresser à Sherby, amenant sa formation à la finale de la Dunsmore en 2012. Cependant, depuis ce temps, il semble stagner ou même régresser. La faiblesse de sa ligne offensive ne lui a pas permis de se rendre justice, mais il n'a pas fait la différence qu'il aurait dû pendant cette période.

De l'autre côté, Gabriel Cousineau était repêché un peu dans l'indifférence dans la cuvée 2011, finissant d'une année où il avait brillé à Momo, on lui reconnaissait de belles qualités athlétiques, mais sans vraiment savoir s'il pourrait devenir un quart dominant dans la LFUQ.

Derrière A. Nadeau-Piuze, il a appris les rudiments du métier et l'an dernier, malgré avoir décroché le poste de pivot #1, il n'a pu vraiment s'imposer. Enfin, à la finale de Dunsmore, il a enfin regroupé ses qualités pour renaître tel un Phénix devant l'adversité.

Depuis le début de la saison 2014, il progresse à chaque rencontre, devenant de plus en plus mordant, prenant de meilleures décisions et faisant confiance à son jeu. La semaine dernière à St-Fx, il semblait vraiment un quart de 4e année qui mène son attaque à sa guise. D'ailleurs il domine actuellement la LFUQ avec 70.3% de ses passes complétées.

Ce sera donc le premier affrontement face à face depuis que Gabriel est solidement implanté comme pivot chez les Carabins. Évidemment, on reviendra sur les comparaisons entre les quarts dans notre ramassis de notes du match #5.

Les impondérables

Deux équipes émotives à souhait et de la pluie à verse... On s'attend donc à une tonne de mouchoirs roses ou rouges et des revirements à la douzaine. Ça pourrait être un match très intéressant, ou un qui n'en finit plus. Sur place au CEPSUM pour la seule rencontre d'octobre ou à Rad-Can, samedi 13:00.

Ailleurs dans la ligue

Dimanche, les Piqueurs et leur tonne de recrues s'en vont au PEPS sans porteur de ballon (MIA au Texas) et sans botteur (blessé)... On a l'impression qu'ils vont rêver que septembre n'ait jamais pris fin...

jeudi 11 septembre 2014

Match #2 - Une brise pourpre...

Espérons qu'on ménagera notre #88 M. Davidson - Photo Domskibum
Un CEPSUM à pleine capacité (probable), un vendredi soir où les étudiants empliront le tailgate, la bière coulera à flots, et surement quelques effluves rappelant Osheaga, ce sera assurément une belle soirée autant en température qu’en football.

Petit calendrier tranquille qui se met en branle pour les Bleus lors des 3 prochains matches, Bishop’s, McGill et St-Fx. Après un long camp d’entraînement, un match inaugural qui a fessé comme une tonne de brique et une courte semaine d’entraînement, c’est exactement ce que le docteur aurait prescrit.

Donc, Bishop’s au match d’ouverture à Montréal. Les caractéristiques de Bishop’s ? Un immense quart-arrière de 5 e année S. McDonald qui distribue bien de courtes passes ainsi qu’un coriace porteur de ballon R. King-Fileen, également un 5e année.

Bishop’s a perdu plus de 20 joueurs l’an dernier, dont ses étoiles les plus resplendissantes (J. Heather et A. Fox entres autres). Cependant, le principal problème avec lequel ils sont confrontés cette année est leur manque de botteur, autant de dégagement que de placement. Dans du football à 3 essais, contre une équipe classée top 10 SIC, ça ne pardonnera pas.

À l’offensive
À leur match inaugural, ils se sont fait piétiner par un porteur de ballon recrue de Concordia. On ne voit pas comment ils pourraient contenir notre duo de porteurs #1 Swissknife Erlington et #27 M. « Crazy » Crisi-Lauzon.

Cependant, on gardera un œil sur la proportion passes/courses pour savoir jusqu’à quel point l’offensive axée sur la passe promise par les instructeurs au début de la saison sera respectée. On aimerait voir un 60% par la passe.

À surveiller lors de la partie, si le différentiel est important , si on entrera un autre pivot, et lequel ? (À Québec city, en plus de #4 Gab. Cousineau, #15 P-L Vareghyi et #12 H. Henderson étaient habillés.)

En défensive
L’offensive pourpre se spécialise dans les courtes passes à d’habiles receveurs. Il sera particulièrement intéressant de voir comment la tertiaire réagira après s’être fait humilier la semaine dernière.

Les unités spéciales
C’est le bon endroit pour gagner le match, plusieurs recrues sur les « teams » face à nos joueurs plus forts et plus rapides, additionné à leur « avec pas d’botteur », on s’attend à de belles choses pour les Bleus dans cette phase du jeu.

Ailleurs dans la ligue
Au même moment, de l’autre côté de la montagne, McGill accueillera les ConUnistes  nouveaux et améliorés dans le cadre de la Coupe Shaughnessy*. L’intérêt de cette rencontre réside dans le fait que l’EC des Stingers Mickey Donovan était CD de MGill l’an dernier. Pour le recrutement 2015 en cours, une belle performance de Concordia pourrait constituer un attrait intéressant chez les collégiaux anglophones indécis. (Ce match sera webdiffusé sur SSN Canada)

Le RetO va visiter les patibulaires (et non bucoliques) plaines verdâtres à Sherbrooke samedi après-midi dans le match télédiffusé par Rad-Can. On restera aux aguets pour suivre comment l’attaque du Renard performera (particulièrement en 1ère demie) face à la coriace défensive du général Constantin.

Bons matches à tous! Et pour les amateurs qui vont assister à un match vendredi soir, apportez-vous une petite laine, ce pourrait être frais en fin de rencontre.

* Pour les ignares, Frank Shaughnessy introduira la passe avant au football canadien.